Magazine Cinéma
samedi 01 mai 2010
Ce film peut paraître un peu culcul et gentillet utilisant tous les ressorts d’un film Hollywoodien comme la musique à fond quand il faut pleurer ou le sacrifice du héros pour sauver ses semblables. C’est aussi vingt ans avant Avatar du même James Cameron une critique de la dérive de l’industrialisation et de la course aux armements. En fait, comme souvent avec e type de film ce sont les effets spéciaux qui sauvent l’ensemble et notamment la célèbre colonne d’eau.