genre: super héros
Année: 1996
durée: 1h30
l'histoire: Bibliothécaire le jour, Black Mask la nuit. Après avoir fait partie d'une escouade d'élite de l'armée, Tsui s'est enfui juste avant la suppression du groupe. Les soldats ont été modifiés pour devenir des machines à tuer. Quelques années plus tard, des membres de l'escouade décident de faire main basse sur le marché criminel de Hong Kong. Seul Tsui peut s'opposer à eux.
La critique de Eelsoliver:
Réalisé par Daniel Lee en 1996, et produit par Tsui Hark, Black Mask est un film de super héros qui connaîtra une suite quelques années plus tard.
Autant l'annoncer d'entrée de jeu, ce premier film est une véritable daube, et on a bien du mal à comprendre pourquoi une suite a vu le jour.
Ce premier volet est une véritable catastrophe. Dans le rôle de Black Mask, c'est le pauvre Jet Li qui s'y colle. Mais l'acteur est connu également pour avoir sévi dans quelques navetons très dispensables. Pourquoi je pense à Roméo doit mourir ???
Le film nous explique rapidement le faits. Tsui, alias Black Mask, est un ancien soldat d'élite de l'armée.
Il fait partie de ces quelques militaires qui ont subi une opération au niveau du cortex cérébral. Ce qui explique sa rapidité et sa grande force.
Il utilise alors ses pouvoirs pour mettre fin aux activités criminelles d'un puissant gang organisé. Ce qui donne lieu à de nombreuses bastons.
C'est réalisé de façon clippesque: images accélérées ou nombreux ralentis afin de bien montrer les accrobaties toutes plus ridicules les unes que les autres.
Seul souci, Black Mask dévoile son visage (masqué !) la nuit. Et c'est bien là le problème puisqu'on ne voit pas grand chose. Sans compter que l'aventure proposée n'est guère palpitante.
Dommage ! Une grosse merde faisandée en fin de compte.
Note: 02/20