Magazine Cinéma

Nanars Reviews

Par Sukie

Vus mais pas pris :

leplanB
Le Plan B // La seule raison d’aller voir Le Plan B (ou The Back-up plan), réside dans le joli minois de Alex O’Loughin (découvert l’année dernière dans la série nanar Moonlight où les vampires sont plus beaux que méchants). N’emmenez pas votre mec voir ce film, il risque de vous faire la gueule au moins jusqu’à la prochaine décennie (surtout si c’est pour lui faire comprendre que vous voulez un gosse ). Cette comédie romantique qui aurait pu être attendrissante finit par s’essouffler au bout de la première demi heure et tomber complètement à plat dès le premier vomi de Jennifer Lopez. En revanche, si vous rêvez de faire un gosse toute seule, de faire l’amour au milieu des fromages qui puent et si vous kiffez les princes trop charmants qui vivent à la campagne ou même appréciez regarder des lesbiennes accoucher dans l’eau en se regardant dans un miroir, ce film vous fera peut-être sourire. 200% girly  6/20

Dear John
Cher John // Ça commence par un coup de foudre sur la plage, pour peu que ça ne finisse en eau de boudin dans un oasis. Accrochez vous, le pitch tient sur cette question hautement existentielle : “l’amour peut-il survivre à tout”. John et Savannah vont -il réussir à poursuivre leur amourette passionnelle malgré la distance et le gap qui les sépare (elle est à la fac, lui sur les champs de bataille). Ouuuuuuh. Adapté d’un roman de Nicholas Sparks, cet indice devrait déjà vous donner la puce à l’oreille sur la teneur en mièvrerie de ce type de film. Comment faire pire que Le temps d’un automne (avec Mandy Moore si mes souvenirs sont bons), La dernière chanson (avec Miley -the cliiiiiiiiimb- Cyrus, ). Channing Tatum a délaissé ses baskets de street-danseur pour faire les yeux doux à Amanda Seyfried et lui écrire des lettres enflammés avant de se rendre compte que oui -mec-, loin des yeux, loin du coeur. De toutes façons, ce ne sera jamais pire qu’un Marc Levy adapté. 7/20

the-blind-side
The Blindside // Par curiosité, j’ai voulu jeter un oeil au film pour lequel Sandra Bullock a reçu cette année l’oscar de la meilleure actrice. J’avouerais, que sans surprise, je n’ai pas compris l’engouement des professionnels pour cette prestation d’une platitude exaspérante, à l’image finalement de l’ensemble de la carrière de celle que je n’aime ni ne déteste, je la trouve tout simplement linéaire. Si y avait pas eu Speed, on aurait franchement jamais tilté sur elle. Si ? J’ai raté quelque chose ? Revenons au film qui cumule les clichés d’un genre qui arrive très rapidement à vous endormir : film estampillé histoire vraie, cliché de l’américaine conservatrice prout prout qui s’attendrit le grand noir un peu bêta mais au coeur d’or, success story fulgurante d’un gamin paumé en qui personne ne croyait etc. etc. On n’est même pas épargné par le plan du drapeau  américain. C’est dire si les Oscars, c’est une vaste fumisterie !  7/20


C’est fou comme je peux en regarder des merdes ! La prochaine fois je vous gâte avec les films que j’ai aimés

;)
. A suivre donc … Lovely Bones, Kick Ass, Iron Man 2 et The invention of Lying


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Sukie 1316 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazines