6 jours, 7 nuits

6 jours après le début du festival, que dire ?

Et bien nous sommes tous bien crevés ! Faut pas croire, monter les marches c’est épuisant… Surtout en talons…

Il faut dire aussi que nous les avons gravies… 15 fois jusqu’ici ! Et oui, un sans faute pour l’équipe qui peut donc se vanter d’avoir vu la totalité des films en compétition.
Tous ? Oui tous ! Nous avons bel et bien obtenu 4 places pour chaque séance (sauf pour un film que Seb et moi n’avons pu voir). Même lorsque nous n’y croyions pas (manque de temps, films très attendus, etc.) nous avons obtenu nos 4 trophées.
Quel bonheur d’arborer fièrement ce petit carton ouvrant les portes du théâtre !

    
Mais à quel prix ? Celui d’un mélange très simple : un grand sourire, un peu de tenue, une bonne dose d’audace, une stratégie justement dosée et il faut le dire, un soupçon de chance… telle est la recette du succès !
Il faut aussi parfois accepter de se faire draguer (parfois lourdement) mais il parait qu’ici c’est un peu le jeu. Alors… cheese !

 
Côté stars… mmm… et bien elles n’ont pas autant d’impact sur moi que sur mes 3 compères.
Lorsque je me suis retrouvée par pur hasard nez à nez avec Tim Burton, j’ai souri mais pas rougi.
Ok, tous les objectifs braqués sur nous, c’était étrange (vous me verrez peut-être en couverture du prochain numéro de GALA) mais Monsieur Burton ne m’a pas troublée, même de si près (en plus il n’était pas rasé).

Sinon la croisette…
Un défilé de petits shorts, mini jupes, jambes bronzées et autres « attractions » féminines. En revanche pour les corps bodybuildés, il faudra revenir !
Pour les demoiselles un peu timides, la paire de lunettes de soleil est un élément indispensable ; voir sans être vue (l’important étant d’y croire)… c’est la clef d’une démarche assurée !

Quant au soleil, il nous a enfin fait l’honneur de pointer son nez samedi et nous profitons depuis de ses vertus entre 2 projections. Un vrai bonheur lors des balades et autres déjeuners sur l’herbe.

Ccil