Le pied le papier.
L'empreinte écologique emprunte l'école logique. Raisonnons, donc devenons raisonnables. Un écosystème fluctue sans cesse, c'est un entremêlement de courbes, un perpétuel déséquilibre, une évolution incessante. La prolifération humaine est un cyclone généralisé, une force centripète qui dilapide, éparpille (pille, surtout)
Nos regards se dirigent vers le système libéral. Prenez BP. Pourquoi a-t-on laissé les pleins pouvoirs de réparation au pollueur, sachant que ce n'est pas un humaniste, mais une entreprise à but lucratif qui a peu de moyens logistiques pour enrayer une telle catastrophe. Pourquoi a ton fait cette monumentale bévue ?
Nos regards se dirigent vers le système (ex) communiste : Chine, Russie qui, au nom d'un prolétariat protéiforme a laissé se développer les pires techniques de production sans aucun regard sur le compteur ? Catastrophes irréversibles de >Tchernobyl, du lac Baïkal, etc...
Le comportement écologique n'est pas un acte nauturel, ni même une priorité d'Etat. C'est une utopie. L'humain agit quand c'est trop tard. Je parlerai bien de procrastination écologique.