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Coupe du Monde, France-Uruguay : Marcher dans l’Abou

Publié le 12 juin 2010 par Levestiaire @levestiaire_net

 Domenech a vu un bon 0-0, Evra un très bon match et il ne voit pas comment l’Uruguay aurait pu mettre la France en danger. Lloris pourrait avoir une vague idée, Forlan rougit à l’idée de devoir répondre. Pas de but encaissé  pour la première fois depuis l’Irlande. Prometteur.

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Lloris : Comme prévu, il a sauvé la patrie. Les fantassins ne sont plus ce qu’ils étaient.

Sagna : Evra ne lui a pas seulement appris à centrer. Il lui a aussi enseigné le marquage, Forlan en a été élu homme du match.

Gallas : Après lui avoir retiré le brassard, Domenech va finir par le priver de sa bouteille d’oxygène à le faire courir comme ça. Finalement, il ne lui reste plus que ses mollets.

Abidal : Leçon n°1, le marquage. Quand Forlan recule d’un mètre dans la surface pour se placer au point de penalty en attendant un ballon qui traîne, doit-on lui tourner le dos ou rester près de lui ? La réponse se trouve dans la bouche de Lloris une fois que le ballon a frôlé son poteau, mais les insultes sont proscrites sur ce site.

Evra : Capitaine flâne n’aime vraiment pas défendre. Qui s’en soucie, c’est un attaquant.

Toulalan : Une légende circule à son sujet depuis ses quelques saisons lyonnaises. Quand son équipe joue mal, il finirait par s’énerver graduellement, voire par prendre les choses en mains. Contre l’Uruguay, il a tiré, pris un carton et recommandé à un Uruguayen d’aller recourir à un acte sodomite. Domenech en a profité pour entrer sur le terrain, avec un sourire franc et massif de désoeuvrement.

Diaby : La surprise du match s’est promenée au milieu, rappelons que Diego Perez aussi, rappelons que Diego Perez joue parfois à Monaco. Grâce à lui, le 0-0 a une autre saveur, dribbler trois joueurs au milieu avant de manquer ses frappes ou ses ouvertures égaye un Mondial. Arsène Wenger a dû apprécier depuis son alcôve de commentateur.

Gourcuff : Zidane met toujours du temps à entrer dans ses grandes compétitions. Vivement le Brésil. Remplacé par Malouda, qui en rit encore.

Ribéry : Le seul danger est venu de lui. Le seul double marquage était pour lui. On ne l’a pas vu, on n’a pas vu les autres.

Govou : Pardon ? Remplacé par Gignac. Pardon ?

Anelka : Souffler à chaque centre trop long des latéraux et courir vers la droite dès que possible pour toucher un ballon, la panoplie de l’avant-centre moderne. Remplacé par Henry qui a déjà réussi son Mondial.


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