A la demande générale et particulère …
Quelques œuvres délicates comme cette vidéo florale de Pipilotti Rist, ou cette autre de Tony Oursler,
un étonnant chat de Magritte, et enfin de sublimes tranches d’oranges peintes par Jean Fautrier rencontrées chez un galeriste genevois, qui impressionné par ma carte de presse m’a aimablement proposé de m’envoyer la documentation de l’œuvre, que j’ai promis de publier, je vous la livre telle quelle :Les tranches d’orange, 1944
Technique mixte sur papier marouflée sur toile
Mixed media (coat and oil) on paper laid down on canvas
Signée et datée en bas à droite - Signed and dated lower right : Fautrier 44
Titrée au dos sur le châssis - Titled on the back on the stretcher
26.7 x 35 cm - 10 1/2 x 13 3/4 in
Provenance
Collection Jean Fautrier
Référence
Certificat d’authenticité établi par Monsieur Jean-Paul Ledeur fait à Paris le 16 décembre 2003.
Toute la poésie de Rebecca Horn, avec le vol de 2 papillons bleus en cage, ainsi que les plumes noires qui font une délicate roue .
Un dernier hommage à Louise Bourgeois avec les magnifiques fleurs rouges.
Dans un autre registre Ragnar Kjartansson –Me and my mother – où elle le couvre de crachats vidéos prises à différents stades de leur vie respective, où un moment cela se termine sur un fou rire.
Poétique aussi l’installation d’Egill Saebjörnsson, - rotation Unit 2010.
Et cette autre installation, presque éphémère, qui parfois été emporté par un spectateur distrait et pressé.
Un autre amusement, déjà rencontré il y a deux ans, un homme nu, cette année c’est la sculpture du buste, présentée par la galerie Sperone Westwater, œuvre d’Evan Penny, intitulée Michaël (variations µ 1 2010) qui selon l’endroit où vous vous placez et l’angle d’où vous le gardez, change de morphologie, est difforme ou normal. En réalité c’est le buste du galeriste présent, le regard amusé, a bien voulu prendre la pose pour moi.
Je le remercie ici.
Ou encore TV Man de Corban Walker, dont les yeux vous suivent comme ceux de la Joconde et qui vous fait un clin d’oeil complice…
Cette année Art Basel était un grand cru, arrosé force champagne, mais aussi par la pluie, qui a empêché Art Parcours de se dérouler intégralement, surtout par le clou de 23 h, le feu d’artifices à cause de la crue du Rhin !
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