Pour une raison qui m’échappe, je n’appréciais pas vraiment Karkwa avant Le volume du vent. Maintenant, je me régale de tout ce qu’a composé Louis-Jean Cormier.
Une pièce essentielle : Le compteur
Extrait de l'article "Abécédaire iTunien" du blogue de Métro Montréal par Vincent Fortier 23 juin 2010,