Magazine Cinéma

Jumanji

Publié le 30 juin 2010 par Olivier Walmacq

Jumanji

Genre: film pour enfants
année: 1996
durée: 1h55

l'histoire: C'est l'un des jeux les plus anciens qui soit, il est unique et dangereux. Le jeu s'appelle Jumanji. Attention: toute partie commencée doit être terminée.

La critique de Eelsoliver:

Il ne faut pas l'oublier: Robin Williams est un acteur qui touche un peu à tout. Du drame (le cercle des poètes disparus) en passant par le thriller (Insomnia).
Mais c'est également un acteur qui a sévi dans de nombreuses comédies et même dans des films pour enfants. Comment ne pas évoquer les cas pathologiques de Hook et de Flubber ?

Oui mais voilà, même si cet acteur a connu la gloire dans les années 80 et 90, il faut aussi penser à remplir le frigo à la fin du mois.
Pour cela, il est également nécessaire d'accepter quelques navetons afin d'assurer un caddie complet au supermarché. C'est probablement dans cet esprit que Robin Williams a accepté de sévir dans Jumanji, réalisé par Joe Johnston en 1996.

Pourtant, Jumanji se tient un peu (je dis bien "un peu"...) mieux que Flubber et d'autres abominations du même genre. Pour une simple et bonne raison, son concept plutôt original mais malheureusement assez mal exploité. Dommage, car même dans les mauvais films, Robin Williams met vraiment de la conviction dans ses personnages. C'est par ailleurs le cas dans Jumanji.

Ici, il incarne un homme d'une quarantaine d'années, resté encore un enfant à cause d'un jeu à la fois fantaisiste, fantastique mais réellement dangereux.
Impossible de croire une seule seconde aux animaux délurés de service, les effets visuels étant assez médiocres. Visiblement, Joe Johnston ne possède pas la technique (ou le pognon) pour rendre ces animaux de la jungle plus vrais que nature.
Ensuite, certaines séquences sont assez ridicules... En gros, un film à éviter mais qui ravira peut-être (je dis bien peut-être) le très jeune public.

Note: 07/20


Retour à La Une de Logo Paperblog

LES COMMENTAIRES (1)

Par Elissea
posté le 20 décembre à 22:18
Signaler un abus

Quelle critique déplorable bien représentative des maux de notre monde actuel : aucune fantaisie, sauf quand elle est forcée par le fric. Je plains la personne qui l'a écrite ... Plutôt se pendre que vivre avec une telle mentalité !

A propos de l’auteur


Olivier Walmacq 11545 partages Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazines