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Monsieur Blanc et le développement antillais...

Publié le 07 juillet 2010 par Orlandoderudder

Choisir!

Il faut savoir choisir! Ce serait trop facile de vivre, come ça, sans prendre ses responsabilités. C'est vrai, quoi, à la fin des fins! On ne peut ,pas laisser les choses comme ça, à vau-l'eau . Il existe de vrais problèmes:il faut les affronter. Et, chacun à sa mesure doit essayer de les résoudre. C'est un devoir. On ne va pas se montrer come ça, toujours iresponsables insensibles à la misère. Un peu de dignité, que diable! Certains parlent de charité. C'est au moins nécessaire. La misère doit cesser! Et nous somes tous concerné par le malheur des pauvres!

Bravo!

Ah, évidemment, ce n'est pas de tout repos! Aider les misérables comporte des risques. Certains se sont battus come des chiens et sont morts au combat pour libérer les opprimés, pour nourrir les pauvres. Ils ont pris des risques, ils l'ont payé cher. Ce sont des gens admirables auxquels nous devons rendre hommage: chapeau et même bravo!

IDEAL!

De plus, ce choix est difficile, car il peut aussi mettre la vie des autres en danger. On a vu ainsi des héros entraînant avec eux desmalheureux qui moururent à cause de leur action splendide: on ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs. De valeureux révolutionnairres au service du peuple affamé ont pu ainsi constater amèrement que les oppresseurs se vengeaient de leur victoire sur les pauvres! C'est épouvantable. Mais le jeu n'en vaut-il pas la chandelle? S'il faut se sacrifier, sacrifier quelques personnes à l'IDEAL, afin de créer un monde meilleur, ce n'est pas si cher payé. Quelques vies  ne sont rien si l'on parvient à libérer un peuple qui a faim.

Che Guevara.

Et c'est pourquoi on ne peut pas reprocher aux bienfaiteurs de l'humanité d'avoir nui à leur entoourage pour la bonne cause. Un grand homme l'a fait: il a soumis plein de gens au tabagisme passif pour atténuer la misère d'un peuple qui souffre. C'est dommage, mais c'est méritoire.De même, il s'est exposé lui-même à un grand danger. L'héroïsme est austère et nous avons tous en mémoire le souvenir d'un grand Cubain (d'origine argentine) qui se sacrifia pour la libert"é: Monsieur Guevara. Il a pris tous les risques. De plus il fumait le cigare. Bien sûr, dans sa lutte, beaucoup de ses compagnons sont morts. c'est triste: rendons hommage à ces héros.voici une ligne de pointillés qui correspondent à ine minute de silence dédiée à leur mémoire:

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Fidel Castro. Et la France!

C'est bien de Cuba, dont je veux vous parler aujiourd'hui. voici un pays fier et digne qui vit dans une misère préoccupante. La pauvreté est florissante. Malgré les efforts du chef de l'etat, Monsieur Castro, héros de la lutte pour la liberté, l'économie dépérit. Pourtant il a fumé beaucoup de cigares. Et nui à son en têtant Cohiba longs comme le bras.Mais Castro, l'avocat au barreau de chaise (oui, il était juriste de formation) a maintenu fermement le cap afin de sauver le pays. Hélas, ses louables efforts n'ont pas suffit! Par chance, il y a la France! L France qui n'a jamais tardé à aider les pauvres et qui,sans hésiter, est, jadis, allée au secours de l'Algérie, de l'Indochine afin d'y apporter la paix et le bonheur! On en avait bien besoin! Fidèle à sa mission, elle ne pouvait pas laisser tomber Cuba. Non!

Développement.

Oui, la France éternelle et grandiose, pays de Jeanne d'Arc, de Boutin  et de Bigeard! Pouvait-elle oublier sa mission civilisatrice et sa fonction de protectrice des pauvres? Certes non! C'est le pays de la lberté, de la révolution! Elle ne pouvait pas laisser Cuba s'embourber dans le marasme, la misère, la déréliction.Et, l'un de ses représentants, un membre du gouvernement a pris le taureau par les cornes. Pour sauver Cuba, il faut de l'argent. Mais la simple charité est humiliante.aussi faut-il aider avec délicatesse. en stimulant le commerce. Et c'est bien dans les attributions d'un secrétaire d'Etat travaillant sur le développement d'une région.

Le pays des héros.

Et cet homme, généreux,  a dépassé le cadre de la région pour s'intéresser au vaste monde et, plus précisément à Cuba. Pour stimuler le commerce, il a décidé d'acheter des produits locaux, du terroir. Il a donc commandé un nombre considérable de cigares afin d'aider les Cubains à sortir de leur situation désastreuse. bon, ila bien fallu les fumer: tous les exprets vous le diront, les cigares, c'est fait pour ça! Ce qui, évidemment, n'est pas sans danger. Et cet homme, Blanc, n'a pas hésité à mettrre sa santé en danger en fumant ces cigares, en vrai héros, comme Guevara qui n'a pas hésité, lui aussi, à affronter un grand danger de mort. Et qui a risqué la vie de ses compagnons:  Blanc a fait de même en les soumettant au tabagisme passif. Parfois actif. Saluons cette grandeur qui montre que, quoi qu'il arrive, la France demeure le pays des héros!

Un impôt.

L'exemple de Monsieur Blanc, pour louable qu'il soit, n'est pas suffisant: il faudrait que tous les secrétaires d'Etat, les ministres, le Pésident, même, en fassent autant. Ca coûte cher, certes, mais pour aider les pauvres, on en compte pas: foin de la mesquinerie. Mais poour alléger la dépense, je propose la créartion d'un impôt spécial destiné à financer l'achat des cigares du gouvernement. Ainsi, chaque français, à sa mesure, pourrait devenir fier de contribuer à une grande oeuvre. Et c'est avec joie qu'il paierait aisi dans la dignité solidaire du membre d'un grand peuple! En vrai citoyen!

Envoi: Il y a aussi du rhum à Cuba. Mais ça aurait fait désordre.Monsieur Blanc a judicieusement préféré les cigares.


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