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Magnus de Sylvie Germain

Par Ogresse
Magnus de Sylvie Germain Je vais être de nouveau à contre courant (mais, bon), voilà, Magnusne m’a pas vraiment transportée. Je me suis même franchement ennuyée sur la fin.
Pourtant (pourtant !) les choses commençaient drôlement bien…
L’Allemagne des années quarante, un petit garçon, son ours en peluche et un papa mélomane qui soigne des milliers de personnes et s’inquiète énormément de la montée du typhus. Plutôt alléchant, vous en conviendrez ?
C’est même vraiment palpitant - jusqu’au voyage dudit petit garçon devenu grand sur les traces de son père suicidé …
Là commence réellement la quête d’un homme, sa recherche d’identité qui prend plusieurs formes, principalement celle de la connaissance de soi à travers l’autre, une femme, qui pour une fois n’est pas une prostituée.
L’histoire dérape au Mexique et se transforme en conte philosophique, en périple métaphysique où le style narratif devient pesant malgré les pauses poétiques et bibliographiques, et dont le langage semi-précieux finit par faire de ce roman un étouffe-chrétien.
Je me suis ennuyée, vous disais-je, pas constamment mais pendant au moins 200 pages. La plume de Sylvie Germain ne me convient tout simplement pas, et pour tout vous dire, je n’ai pas très envie de renouveler l’expérience.
Clara et Canel, elles, se sont régalées et Margotte propose une interview de l’auteure interrogée sur Magnus.
La note de L'Ogresse:
Magnus de Sylvie Germain

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