Et pour continuer de plus belle
Une nouvelle liste alphabétique, celle de mon cinéma d’horreur, fantastique et de science fiction (télévision incluse).
Amityville. Faut toujours se méfier des maisons pas chères.
Blade Runner. L’évidence de ce B est-elle de mise ? Assurément oui.
Ça Normalement un clown est un personnage rassurant, drôle qui enchante petits et grands, et pas un être répugnant et repoussant qui s’en prend à une bande de gamins dont le destin est scellé par un pacte (une constante chez Stephen King).
Dracula. Un personnage incontournable du cinéma depuis près d’un siècle. Des centaines de longs métrage mais les metteurs en scène ont toujours la "soif" de nous proposer des interprétations différentes.
Evil Dead. Un film à petit budget devenu un véritable mythe. Et puis que serait le cinéma du vingtième siècle sans Ash ?
Freaks (1932). Un long métrage où les monstres ne sont ceux que l’on croit. Une ode à la différence, à la tolérance. Une œuvre d’une étonnante modernité.
Gremlins. De petites boules de poils bien sympathiques ou des créatures hideuses aux griffes acérées et aux dents pointues. A vous de voir. Blanche Neige n’a jamais de fans aussi turbulents. 25 ans après la magie opère toujours.
Halloween forcément. Une fête. Des films. Des masques. Des tueries. Une sanglante légende.
Innerspace. Un film esthétiquement parfait. Des effets spéciaux pour le moins réussis. Une comédie tonique et drôle. Et des interprètes de qualité.
Jugement Dernier (Le). "L'avenir n'est pas écrit , qu'il n'y a pas de destin, mais ce que nous faisons de nous-même". J’ai toujours trouvé que cette réplique était l’une plus efficaces du cinéma. Concise et redoutable. Loin des discours vains et des démonstrations hasardeuses.
Krull. Une œuvre trop méconnue mais qui me procure un plaisir immense à chaque visionnage. J’ai un faible pour la musique de James Horner.
Lake (Crystal). Un endroit dangereux. Des morts presque tous les ans. Et pourtant des ados stupides et fornicateurs viennent se faire découper, trucider, écarteler par un gars porteur d’un masque de hockey. Cela ne vous rappelle rien ?
Matrix. Un premier film phénoménal, révolutionnaire, atypique suivi par deux suites totalement inutiles.
Numéro 9. Une histoire touchante. Des créatures profondément humaines dans une œuvre ambitieuse. Une animation de haute volée. Une réussite.
Outland. L’un des meilleurs rôles de Sean Connery à mon sens. Je le vois pratiquement chaque année et j’adore.
Phibes. Des morts horribles orchestrées de main de maître par un être démoniaque. Vincent Price est énorme.
Quatrième Dimension (la). Une série phénoménale. Des histoires variées, originales. Un casting de folie. L’un des plus grands succès de la télévision américaine.
Ripley Ellen. Lieutenant et second officier du Nostromo. Indispensable personnage dans le cinéma contemporain. 4 longs métrages en trente cinq ans et nous avons toujours envie de la revoir à l’écran.
Silent Running. Un film de science fiction écologiste. trop méconnu. Une histoire qui fait réfléchir le spectateur.
Tron. Une œuvre majeure. Un film indispensable qui ne plie pas sous le poids des ans.
Umbrella. La firme de recherche biologique et pharmaceutique incarne tout ce qu’il y a de plus méprisable dans la science. Une formidable source d’inspiration pour le 7ème art pas toujours bien exploitée.
V. Série culte. Très populaire chez les humains. Moins chez les souris et les canaris.
Willow. L’un des longs métrages phares de mon adolescence. A chaque fois je plonge avec délice au cœur de cet univers de magie et de sorcellerie.
Xénomorphe. Forcément. N’est ce pas toi ?
Yeux sans visages (Les). L’un des classiques du cinéma français. Georges Franju a mis en scène un long métrage diaboliquement efficace dans lequel Pierre Brasseur est monstrueux de détermination.
Zardoz. L’un des longs métrages qui m’a laissé le plus sceptique au cours de mon existence. Plus jeune on se demande s’il y a quelque chose à comprendre mais en grandissant on oublie de rationaliser.