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LE chat et le chien: Hitler et Pétain.

Publié le 28 juillet 2010 par Orlandoderudder

Militaires.

L'homme qui a voulu s'arracher à la saloperie de la condition animale sans toujours y parvenir, qui rêve de paix sans encore savoir s'empêcher de faire la guerre, comme les bêtes a la faiblesse d'aimer les animaux, ce repoussoir... Ce qu'on ne veut plus être dès qu'on est humain...Il n'y a pas d'animaux poètes: ils sont militaires, guerriers, violeurs, assassins voleurs haineux et vivent dans la trouille abjecte du plus fort! La trouille génére la haine, sentiment majoritaire dans la nature, cette merde!  Ca a l'air complètement con... En plus le gentil toutou, le beau chat hiératique auraient bouffé leur maître volontiers s'ils avaient été plus costauds que lui: l'amour des bêtes est domination! Pouah!

Judicieux.

Cependant, il y a du judicieux dans le choix des animaux de compagnies (exploitation affective assez répugnante). que l'on peut rattacher à 'histoire pour illuster les démons familiers de l'homme. Oui, celui qui a inventé le devenir, l'Humain, doit contamment louvoyer entre deux tendances opposées. Celui qui sous le ciel défie ce con de dieu, ce génie sublime qui a inventé la musique, le vélo, les logarithmes et la fraise tagada (aucune bête ne l'aurait fait) a choisi comme principal faire-valoir affectif Charybde et Scylla!

Chat.

Voire Hitler ou Pétain. Le chat, ignoble tortionnaire qui jouit froidement comme un Bigeard en torturant de pauvres proies motre la salopasse équanimité d'humeur du vrai  nazi qui sait jouir, glacial, avec un intérêt méthodique et dégueulasse pour la souffance qu'il impose. Le chat, cruauté des hautes glaces, fascine comme une arme, une mécanique bien huilée, efficace et calmement féroce. Ppurquoi supportr des bêtes ce qu'on n'accepterait pas hez l'humain? Les animaux ont une consciens, le saviez-vous? La preuve: ils sont mauvais, pouacreux, hyperdégueus! Peut-être même ont-ils une âme, comme les salauds humains qui croient, ce qui leur permet de tuer en célébrant l'amour.

Chien.

Le chien, lui, peut aussi tuer, certes. Comme Pétain.Mais il a de ce dernier la veulerie maussade, l'ifâmie soumise qui le ait se coucher servilement dès que le maître élève la voix. Wassingue putride, c'est un rampant aux fidélités rances. Lavette et lavasse, loque à reloqueter, c'est l'indignité mochasse, l'obéisance focrionnarisée du bon toutou merdique qui ne mérite que des coups de pied dans le ventre! Mais heureusement, certins se redressent, mordent la main imbécile qui les nourrit et bouffent leurs maîtres. Quoi qu'il en soit ces salopes de bêtes nous enseignent la philosophie humaine: se teir droiut, ne jamais leur ressembler. Et bouffer avec joie celles qui sont comestibles!

Moralité.

O§ui, la présence des animaux peut aider l'humain à se mériter, à deveir ce qu'il est, à être ce qu'il devient: savant, poète, amant, gastronome, ingénieux, sagasse... Ce contre-exemple peut le conduire à n'être i Hitler ni Pétain, ces bêtes immondes, en méprisant la nature et son imperfection (oui: ele nous oblige au travail, l'ORDURE les saucisses ne pussent pas su les arbres et les oies ne volet pas toutes rôtiet une faute grave! La nature est COUPABLE, "mère nature" est notre mère à la façon Médée ou Véronique Courjault! ) et en exigeant son dû: toujours plus!

Envoi: Fromage ET dessert. Et plutôt deux fois qu'une!


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