Le Figaro, sans complexe, inscrit cet article à la rubrique "Culture". Je vous propose de le lire, dans la foulée du petit sondage du blog.
Le style enlevé et l'humour certain de Nicolas d'Estienne d'Orves permettent de s'affranchir de tout énervement éventuel à la lecture d'un papier qui cultive un art consommé de la dichotomie un peu systématique. Le caractère réducteur de l'exercice est tout à fait assumé et fait partie des plaisirs liés au relâchement estival.
Pour ma part, je suis indéniablement "Mozart", même si l'écoute de Wagner, contrairement à Woody Allen, ne me donne pas toujours une envie irrésistible d'envahir la Pologne.Bonne lecture.