Werewolf in a Women's Prison

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genre: inclassable, érotique (interdit aux -16 ans)
année: 2007
durée: 1h25

Synopsis: Sarah et son petit ami campent dans les montagnes de Campuna et sont attaqués par un loup-garou. Sarah est jugée coupable du meurtre de son ami. Arrivée dans une prison pour femmes, elle découvre alors qu'elle est victime d'une terrible malédiction.

la critique de Eelsoliver:

Voilà de la série Z pure et dure qui mélange horreur, érotique et sadisme. A peu de choses de près, on se croirait presque dans un film de Bruno Mattéi.
Inutile alors de préciser que Werewolf in a women's prison, réalisé par Jeffrey Leroy en 2007, est un très gros nanar mais un mauvais film sympathique qui n'a de cesse de jouer avec un certain mauvais goût.

Il est clair que tout le monde n'appréciera pas. L'histoire est des plus simplistes. Sarah et son petit ami sont attaqués par un loup-garou.
Son fiancé meurt mais Sarah survit miraculeusement après avoir été mordue. Elle est alors accusée d'avoir assassiné son ex-compagnon et elle est envoyée dans une prison pour femmes.
C'est là que le film prend toute sa dimension sado-maso !

Une fois en taule, elle découvre un endroit sinistre où les jeunes femmes sont toutes à poil (ou au minimum les seins à l'air). Le lesbianisme et les partie de léchouille sont évidemment la règle d'or.
Ce qui donne le droit à quelques séquences incroyablement vulgaires !
Mais de l'autre côté, il y a évidemment les gardiens qui organisent des parties de sexe et de père fouettard avec les jeunes prisonnières.

Et le loup-garou dans tout ça ? Et bien ce dernier, sous le visage angélique de l'héroïne de service, traîne lamentablement son museau mais apparaît tout de même parfois dans quelques séquences atteignant un fort taux de nanardise.
Werewolf in a women's prison est évidemment un film fauché, volontairement mauvais dont les effets spéciaux et le mauvais goût nous feraient presque regretter un certain Hurlements 2, considéré comme l'un des pires films du genre.
Désormais, c'est le film de Jeffrey Leroy qui détient la palme.

Note: