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Le négociateur – Édition spéciale

Par Pierreh66

Un casseux de party sévit au Québec depuis le début de l’été. Plusieurs ont eu affaire avec ce malfrat qui agit en sourdine et qui laisse derrière lui des âmes en détresse , démunies et complètement ravagées. Les forces de l’ordre n’ont pas réussi à identifier  l’individu et tous les postes de polices sont en alerte car les experts ont confirmé que les coups les plus meurtriers seront portés dès ce soir et se répèteront à profusion durant les prochaines semaines.

La dernière victime à avoir encaissé les sévisses du renégat  a été localisée à Mirabel. Se remettant de ses émotions, l’éclopé a tout de même répondu aux questions de notre reporter.

- Il ne vous a donc laissé aucune chance ?

Eh bien, je m’attendais à ce qu’il frappe, mais on est jamais assez préparé à ce genre de traumatisme

- Croyez vous pouvoir vous relevez de ce choc psychologique ?

Il le faudra, ma situation ne me permet pas de m’apitoyer sur mon sort. Je serai d’attaque dès demain. J’ai la couenne dur, comme on dit.

- Qu’est ce que vous pouvez partager à nos auditeurs pour qu’il puisse se protéger contre cet énergumène

Je crois qu’il n’y a rien à faire. Il est sans pitié. Dans le meilleur des cas, il faudrait peut-être l’apprivoiser, mais qui veut fraterniser avec ce genre de détraqué ?

- Croyez-vous qu’on lui mettra la main au collet ?

Oubliez –ça ! le casseux de party est bien ancré dans notre société et il n’est  pas près de nous laisser vivre en paix. L’attraper ? C’est une cause perdu d’avance.

- Et pour terminer, votre prochain party est pour quand ?

Ouais, juste aux fêtes en décembre… J’ai le temps en masse de m’en remettre et de me préparer à une nouvelle invasion.

- Merci beaucoup M. Pierre H. Charron. Je vous souhaite des jours meilleurs et que votre réhabilitation se fasse en douceur.

Effectivement, ce retour des vacances de la construction est une tragédie d’année en année pour les travailleurs et les contre-coups du casseux de party sont toujours aussi néfastes. Un vrai fléau. Il faut vivre avec, il paraît. C’est le destin des contribuables québécois.

Ici Claude Poirier pour cette édition spéciale du Négociateur.

10- 4

***

Psst….  Bien content de revenir sur la toile et dans la blogosphère ! Et ne vous en faites, je vais survivre …… au moins quelques semaines…jours…..

Ah oui, Faut que je crinque le cadran à soir .. Grrr %?%%*(&)(


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