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Seigneur des anneaux : Le retour du roi

Par Silice
Seigneur des anneaux : Le retour du roiDernier et meilleur opus de la saga, Le retour du roi est un des grands évènement cinématographique de la décennie, on ne compte plus ses oscars, ni le nombre de fois qu'on a pu l'avoir vu et revu.
En effet, la grande épopée autour de l'anneau de pouvoir va se terminer mais comment ? les gentils mourront-ils ? Et qui et comment et pourquoi ? Et..., voilà les questions qu'on pu se poser certains spectateurs avant d'entrer dans la salle en 2003. Le suspense n'est plus vraiment au gout du jour à présent, la trilogie est bien fini et la revoir deux fois par an, c'est normal !
Le retour du roi mêle les meilleurs moment des deux premiers films, à savoir grandes batailles, effets spéciaux impressionnants, amitié, peur, mélancolie, tout y est pour nous faire passer un moment exceptionnel. Le charisme de chaque personnage s'accroit jusqu'à toucher son paroxysme avec Aragorn, seul Frodon s'éloigne de nous et descend du mauvais coté de la force tel un Dark Vador dont tout pouvoir devient une drogue.
Chaque scène est terriblement bien amené, Peter joue avec l'éclairage, comme lors de l'arrivée des cavaliers du Rohan et certaines scènes sont belles à pleurer.
Seigneur des anneaux : Le retour du roi
La magie du film est sans doute que là où la plupart des films nous ennui au bout de 2h00 de temps, Peter Jackson nous tient bien en haleine pendant plus de trois heures, et il est sans doute un des seuls à y arriver aussi bien. Jackson joue avec nos nerfs comme un enfant, sans pourtant réalisé la moindre faute. Coté décor, maquillage et costumes, tout est fait pour que nous soyons totalement immergé dans cet autre monde qu'est la terre du milieu.
Niveau casting, Peter Jackson avait choisit des acteurs pour la plupart peu connu du grand public et si le film fut un un succès, il s'agissait tout de même à la base d'un paris risqué.
Chaque dialogue devient une référence telle qu'on pourrait la murmurer en même temps que l'acteur, on ne se lasse pas des combats, des paysages, des diversions, des bons et mauvais sentiments...
La trilogie de la décennie, nous nous approchons de la perfection.
Personnellement, j'adore dire cette phrase en même temps qu'Elrond : "Anduril, la flamme de l'Ouest, forgée avec les fragments de Narsil"
20/20
Silice

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