C’est le début de l’été 2008. Il fait beau, il fait chaud. On est chow, c’est bow. Sur l’hippodrome de Longchamp, je découvre avec émerveillement, sur la scène de Paris durant les Solidays de cette même année, le duo de pop anglaise qui nous faisait danser depuis plusieurs mois déjà sur leurs chansons That’s not my name et Shut up and Let me go, issues de leur excellent premier album, We started nothing. Quelques deux ans plus tard, nous sommes donc en droit d’attendre avec une certaine impatience le second album de The Ting Tings, intitulé Massage Kunst – littéralement l’art du massage en allemand – inspiré du nom d’un salon de massage situé non loin de leur studio d’enregistrement à Berlin.
En jetant une oreille curieuse à leur premier single Hands, on n’a aucun mal à entendre l’influence de Calvin Harris, qui a travaillé sur quelques remixes de leur premier album. Là tout de suite, je n’arrive pas encore à être totalement fan. On dirait qu’Abba est sorti de nul part et aurait découvert la dance électro des années 2000.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble