Bernard Cerquiglini nous avait fait remarquer que les déclinaisons sont rarement respectées dans les oeuvres littéraires françaises médiévales. Et qu'elles s'appliquent de préférence aux actants principaux du récit: nonne, nonnain, pute, putain, compaing, compagnon. Ces noms sont souvent issus des imparissyllabiques latins... C'est quelque osmose féconde entre grammaire et rhétorique: cela est "bon à penser"!