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The Expandables

Par Corentino

Le Ocean’s Eleven du mĂŠchant garçon mais qu’il est un peu gentil quand mĂŞme :

The expandables

Les chiffres autour, ce sont les morts qu'ils ont fait (mais pour du faux)

Rambo, le catcheur, le grand blond à la ranger noir et au sourire nias, le jasone tatane, jason maclane, terminator, et d’autre second rôle notoire du cinÊma d’action amÊricain d’hier et d’aujourd’hui sont rÊunis pour faire un casse. Ils vont faire sauter le palais prÊsidentiel d’une Île paradisiaque gouvernÊ par un pantin dictateur impotent. Le mec est tellement mou que c’est un agent de la CIA vÊreux qui lui souffle comment exploiter le peuple pour amÊliorer le PIB en cultivant la cocaïne.

Et vous, pauvre sot, pensiez que le monde Êtait noir, qu’il n’y avait plus d’espoir. Mais que nenni mon cono !  Il y a la bande de vieux de la vieille, les mecs qui ont tellement trainÊ leur ranger et leur treillis dÊlavÊ dans toutes les mauvaises productions de sÊrie B qu’ils connaissent tous les coups fourrÊs possibles et inimaginables. Il faut bien reconnaÎtre qu’il n’a plus grandes diffÊrences entre les œuvres dites d’anticipations et l’affreuse rÊalitÊ qu’est en train de devenir notre bonne vieille France.

Mais ce soir, au menu il n’y a ni fromage ni pain et encore moins du vin. Ce soir on ne dine pas à la table de William Saurin, on se calle le gros popotin au fond du canapÊ, les doigts napÊs de graisse made by Ronald McDonald.

Ce soir Bob et ses copines du club de rami font le muret de l’hospice, ils se font la mallette (c’est une petite malle), le baluchon accrochÊ au bout du dÊambulatoire, ils vont draguer les filles d’a cotÊ et tout faire pÊter juste pour ses beaux yeux et sans même demander leur rÊcompense d’un million de dollars offerte par la CIA‌

Et hop la nouvelle bande annonce en HD :

En gros pour rÊsumer, on a une belle brochette d’acteur, dont un certain nombre qui a clairement dÊpassÊ la date de pÊremption. Au final, le film est moyen, mais il y a quelques scènes grandioses qui vous feraient presque oublier le reste.

Il faut rajouter que le rĂ´le de Rolph Lundgren prends tout son sens lorsqu’on apprends qu’il ĂŠtait destinĂŠ au dĂŠbut Ă  un certain Jean Claude VanDame . Et oui madame, c’est vĂŠritĂŠ vrai, c’est Stallone lui mĂŞme qui l’a dit lors d’une ĂŠmission Ă  grande audiance genre Good Morning America.


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