
C'est à 9h, hier matin, que les cris de Marlyse arrachent la population de Nsiméyong à ses occupations. Elle était en train d'être poignardée par le nommé Atangana. Des riverains accourent. La foule est constituée pour la plupart de femmes et d'enfants. Ils sont apeurés et assistent, médusée, à la scène. D'aucuns poussent des cris de détresse pour solliciter l'aide des hommes. Après avoir ôté la vie à sa bien-aimée, le nommé Atangana s'est aussitôt mis le couteau à la gorge pour se la
Lire la suite...