Si je travaillais dans la publicité et que je devais faire la promotion de l'energy drink Burn, je me demanderais déjà comment résoudre le problème de prononciation du nom.
Idée forte : faire de la radio. Ainsi, les gens comprendront qu'il faut dire Burn à l'anglaise et non à la française. Oui c'est une boisson de couillus, de mecs qui en ont, mais il est évident que ce serait un frein à l'achat si on s'imaginait devoir mettre ses lèvres contre une .... de taurine (probable cousin du taureau, dans l'esprit du conso) pour boire.
En bon professionnel, je goûterais le produit. Et je l'ai fait ! J'ai challengé les bénéfices produit et j'en ai été estomaqué. Beurk !
Burn est "Intense" ? Vrai ! Son goût est très présent en bouche. Il reste... Il ne part pas... Il s'incruste... Vite de l'eau... du pain... quelque chose... HELP ! Burn est un virus qui vous pénètre. Burn ne ment pas. Burn brûle vos papilles, les détruit.
Burn est plein d'"Energy" ? Vrai ! La preuve : après deux gorgées, j'avais la force, l'énergie de ne plus jamais en boire. Jamais un produit n'avait eu un effet aussi rapide sur moi.
Aussitôt, une idée forte germe dans mon esprit :
Burn, c'est comme boire un testicule et ne plus jamais vouloir recommencer.
Pas mal pour une première idée... Je continue à réfléchir.