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Firestarter 2

Publié le 16 septembre 2010 par Olivier Walmacq

firestarter2

genre: fantastique
année: 2002
durée: 2h40

l'histoire: Vincent Sforza est payé pour retrouver des personnes disparues dans l'espoir de leur donner une somme d'argent équivalente à l'action en justice qu'elles auraient gagné. Parmi ces personnes introuvables, Charlie enquête sur sur des expériences médicales secrètes s'étant déroulées plusieurs années auparavant.

la critique de Eelsoliver:

Firestarter 2 est évidemment la suite de Charlie: Firestarster, plutôt un bon cru pour ce qui concerne les adaptations de Stephen King au cinéma.
Il était donc légitime de craindre une suite qui prend ici la forme d'un téléfilm, s'étalant tout de même sur une durée de deux heures et 40 minutes de bobine.
Autant dire qu'il faut prendre son mal en patience...

Mais force est de constater que le réalisateur, Robert Iscove, s'en sort avec les honneurs. Les années ont passé et Charlie McGee a bien grandi.
Pourtant, les événements du premier épisode ont laissé des traces et des cicatrices. La jeune femme continue son chemin mais avec un lourd secret.
Désormais, elle enquête sur des personnes qui lui ressemblent et qui ont donc subi des expériences médicales secrètes.

Elle aussi a été victime enfant de ses mêmes manipulations. Elle possède des pouvoirs qui dépassent l'entendement et peut provoquer d'immenses flammes quand elle est en colère.
C'est donc une personne dangereuse qui intéresse plus particulièrement un scientifique qui cherche à jouer aux apprentis sorciers (Malcolm McDowell).

L'ensemble est plutôt soigné mais malgré tout assez longuet. L'intrigue demeure sans surprise. Il s'agit d'un affrontement entre une jeune femme et son créateur.
Le principal défaut réside dans une histoire d'amour guère passionnante entre Charlie et son nouveau prétendant. Mais toujours est-il que les acteurs sont plutôt bons.
Le réalisateur pourra remercier l'interprétation de Malcolm McDowell, impeccable en méchant et du regretté Dennis Hopper. Une suite qui tient assez bien la route en fin de compte.

Note: 12/20


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