Le paysan breton et la nigérienne
Ce breton, brut de décoffrage
Venait d’épouser une nigérienne.
Ils vivaient comme des sauvages
A plusieurs lieues de Pleyben.
Ils habitaient une maison misérable
Eloignée de tout chemin carrossable,
Au fond d’une triste campagne.
Jeune, un peu forte, sa compagne
Se plaignait : aucun magasin à proximité.
Le mari étant aux champs, puis au café.
Toute seule, elle restait.
Le vent, la pluie, sans arrêt.
Bref, mal du pays et déprime,
En prime.
Alors cette femme est rentrée
A regret
Chez elle, au Niger
Où elle a ouvert
Hi, hi !
Une crêperie.
LES COMMENTAIRES (1)
posté le 09 mars à 19:15
ben c'est plutôt un conte de con, parce qu'y a jamais eu de crêperie au Niger je suis la bas depuis 1989 pour info....