Cinq enveloppes, cinq impressions, cinq fois cent-quatre pages, vingt-cinq euros de photocopie, dix-huit euros de frais de ports, un accusé de réception par mail déjà reçu, des béta lecteurs sur les starting block... Et plus que trois ou quatre mois à attendre, avant d'envisager une deuxième salve...
Magazine Culture
Un mois d'écoulé après la fin annoncée de l'écriture de « Cette vie » et voilà, ça y est, c'est parti : un manuscrit d'envoyé, et un ! En un mois, les dernières corrections (majoritairement orthographiques) ont eu le temps de peaufiner complètement le texte. Il s'agit donc à présent d'une version complète, terminale, tout ce qu'on veut ; bref, je ne le changerai plus (le texte). Un point final qui vient clore six mois de travail, parfois intenses, et plusieurs versions différentes, toujours décortiquées, épurées, poussées dans leurs ultimes retranchements. Et la sympathique impression d'avoir fait ce qu'il fallait, d'avoir fait ce que je pouvais, d'avoir été au bout de mes envies en la matière. Bref, aucun regret à avoir, et ce peu importe les réponses à venir : je ne suis plus maître de ces contingences là.
Cinq enveloppes, cinq impressions, cinq fois cent-quatre pages, vingt-cinq euros de photocopie, dix-huit euros de frais de ports, un accusé de réception par mail déjà reçu, des béta lecteurs sur les starting block... Et plus que trois ou quatre mois à attendre, avant d'envisager une deuxième salve...
Cinq enveloppes, cinq impressions, cinq fois cent-quatre pages, vingt-cinq euros de photocopie, dix-huit euros de frais de ports, un accusé de réception par mail déjà reçu, des béta lecteurs sur les starting block... Et plus que trois ou quatre mois à attendre, avant d'envisager une deuxième salve...