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Mécanismes Episode 13 (Cette superbe équilibriste en robe rouge)

Publié le 14 mars 2007 par Menear
C'est habituel, tous les mois, l'épisode de Mécanismes, tout ça, et ainsi de suite, etc. Mine de rien, la série avance, et nous voici (déjà) au septième épisode de la saison 2, le treizième en tout. Cela fait plus d'un an que ça dure maintenant, et à en croire le nombre d'idées nouvelles que j'ai tous les deux jours, j'ai bien peur que ça dure encore un petit (grand) moment. Bref, passons au...
Résumé des épisodes précédents :
Arto Pizzetti et Erin Bakura enquêtent sur la mort suspecte de Paul Blanchet dont l'affaire, qui datte de trois ans, n'a toujours pas rendu son verdict. Leurs dernières informations les ont conduit sur la piste d'un médecin, médecin présent quelques jours avant la mort de Blanchet et donc témoin potentiel du meurtre. Selon les dernières informations glanées par Arto Pizzetti à Paris, Luca Pacioli (cf. saison 1) devrait être ce médecin. C'est pourquoi Pizzetti s'embarque pour la Nouvelle Carthage, théâtre de la quasi totalité de la saison 1, et s'en va à la rencontre d'une vieille connaissance de Pacioli... Le tout sous couvert d'une "identité alternative", celle de Léon Bloy...
« Nous n'avons pas fait tout ce chemin pour nous arrêter là, maintenant, alors que c'est aujourd'hui même que notre pays a le plus besoin de nos efforts, de nos talents, de notre volonté à tous pour lui assurer un avenir meilleur, pour nous assurer un avenir meilleur, et commencer à vivre de façon indépendante, enfin, car c'est ce à quoi nous aspirons, c'est pour cela que nous avons combattu et c'est pour cela que nous avons surmonté cette première épreuve. Ne l'oubliez pas, c'était il y a moins d'un an seulement, et rien ne peut être garanti, rien ne peut être sûr sans que nous nous investissions personnellement à cent pour cent pour sauvegarder les fruits de notre labeur passé. Nous n'avons pas fait tout ce chemin pour nous permettre de nous reposer, pour nous permettre de nous contenter de ce que l'on nous impose. Nous n'avons pas fait tout ce chemin pour nous laisser dicter notre conduite par les États voisins, aussi influents soient-ils, aussi convainquant puissent-ils paraître pour certains diplomates peu scrupuleux. Nous n'avons pas fait tout ce chemin pour tomber à notre tour dans la corruption, dans les scandales et dans les luttes de pouvoir. Nous n'avons pas fait tout ce chemin pour rentrer dans le rang, pour s'effacer, pour se taire, pour étouffer le peuple. Nous n'avons pas fait tout ce chemin pour faillir et pour nous contenter du minimum. Si nous en sommes là, aujourd'hui, nous ne le devons qu'à nous-mêmes, au peuple, aux républicains, aux démocrates et c'est nous-mêmes, encore une fois, qui porterons notre pays de manière à accomplir ce que nous avons commencé d'engager il a déjà plusieurs années de cela. La souveraineté, l'indépendance, la liberté : ces droits-là nous les avons gagnés par la lutte, par la volonté, par le courage. Désormais, il nous faut ensemble porter bien haut les valeurs de la Nouvelle Carthage et nous battre ensemble pour accomplir nos rêves et nos espoirs. Il ne tient qu'à nous de faire de notre pays notre idéal, il ne tient qu'à nous de compléter le travail de tous nos prédécesseurs, tous nos héros, qui, comme mon mari, ont payés de leur personne et parfois de leur vie pour permettre la réalisation de ce rêve. Il est de notre devoir de ne pas les décevoir, il est de notre devoir de faire de la Nouvelle Carthage ce qu'elle aurait toujours dû être : notre nation. »
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