Marion Cotillard, Benoît Magimel, Gilles Lellouche, François Cluzet, Jean Dujardin et quelques autres y incarnent le noyau d’une bande d’amis tournant autour de la quarantaine, ayant pour habitude de se retrouver tous en vacances dans une belle villa de bord de mer, avec conjoints et enfants.
Son film le plus personnel
rché, horaires de lever peu en rapport avec ceux de la marée, coups de gueule et franches rigolades, confidences de cœur et blagues potaches, tend aux spectateurs un miroir complice et séduisant.
Mais, dès les premières minutes du film, Guillaume Canet y introduit, sous la forme d’un drame brutal, un sérum de vérité dont la diffusion dans le groupe est censée mettre chacun face à lui-même, à ses petites lâchetés, grands mensonges et vacuités intérieures, son incapacité à s’avouer à lui-même ce qui le porte ou le tord.
Le réalisateur, qui signe aussi le scénario, confie qu’il livre là son film le plus personnel, né d’un processus douloureux de retour sur soi, commencé sur un lit d’hôpital à la suite d’un problème de santé et poursuivi sur le divan d’un psychanalyste. Un tel aveu résonne comme une authentique quête de sens. Les personnages s’égarent et égarent le spectateur
Arnaud SCHWARTZ
Pour consulter la liste complète des articles consacrés au CINEMA FRANCAIS, cliquer ICI

Son film le plus personnel
rché, horaires de lever peu en rapport avec ceux de la marée, coups de gueule et franches rigolades, confidences de cœur et blagues potaches, tend aux spectateurs un miroir complice et séduisant.Mais, dès les premières minutes du film, Guillaume Canet y introduit, sous la forme d’un drame brutal, un sérum de vérité dont la diffusion dans le groupe est censée mettre chacun face à lui-même, à ses petites lâchetés, grands mensonges et vacuités intérieures, son incapacité à s’avouer à lui-même ce qui le porte ou le tord.
Le réalisateur, qui signe aussi le scénario, confie qu’il livre là son film le plus personnel, né d’un processus douloureux de retour sur soi, commencé sur un lit d’hôpital à la suite d’un problème de santé et poursuivi sur le divan d’un psychanalyste. Un tel aveu résonne comme une authentique quête de sens.
Les personnages s’égarent et égarent le spectateur
Arnaud SCHWARTZ
Pour consulter la liste complète des articles consacrés au CINEMA FRANCAIS, cliquer ICI

