Ajami de Scandar Copti, Yaron Shani (Drame palestino israelien, 2010)

Plongé au coeur d'Ajami quartier palestinien situé à la Ville de Jafa aujourd'hui attaché à Tel-Aviv - capitale économique d'Israel. Plusieurs histoires s'entremelent. Omar - musulman - est menacé de mort par un gang à la suite d'une altercation qui a mal tournée avec son oncle. Malek - musulman - est un jeune travailleur illégal. Il vit dans les territoires palestiniens pour travailler dans le même restaurant qu'Omar. Il doit financer l'oprération de sa mère souffrante. Binj - musulman - veut faire sa vie avec sa petite amie chrétienne. Et enfin, Dando, policier - juif - tente de trouver son frère disparu.
La tension du au conflit Israelo-palestinien est intence. Un rien peut-être une source de conflit, tel une dispute entre voisin. Les inégalités entre palestiniens est criante comme le démontre la cas de la mère de Malek qui ne sera pas soignée pas soignée en Israel alors que les hopitaux palestinien ne sont pas en mesure de lui sauver la vie.
Il ne faut pas non plus dire que c'est l'afrontement à tout bout de champs. Ce qui laisse présager des jours meilleurs, c'est la jeunesse. La rivalité des deux camps, ou les diférentes traditions des religions ne sont plus aussi dogmatique. Les relations entre Omar et son amie catholique montre une trangression des règles auxquelles est refractaire le père de celle-ci, encore conduit par une culture patriarcal.
Les Israeliens ne sont pas tous anti-palestiniens, même si beaucoup d'entre eux soutiennent Benyamin Netanyahou, le premier ministre. Les arabes et les juifs, anisi que les chrétiens, cohabitent dans les quartiers populaires et même s'il y a des moments durs - causée par les tensions du conflits - cela démontrent que le vivre ensemble peu se faire.