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Pollution sensorielle, esclavage accepté

Par Pikkendorff

Nos sens à la recherche de la beauté, d’une transcendance sans cesse harcelés, pollués par les sollicitations sensorielles de la société marchande coupant tout accès à nous-mêmes, à notre monde intérieur, si vaste, à l’image de l’immensité de l’univers, dieu à l’image de dieu.

Notre dépendance à ces images, à ces émotions fabriquées, est un esclavage accepté réduit à une fonction : le consommateur.

Le Verbe et l’Attention sont les deux vecteurs d’une communication physique et spirituelle d’esprit à esprit, d’univers à univers.  Le Silence, l’Attention, la Parole construisent le chemin vers la liberté humaine.

de Nathan Cepibryska– 24 Octobre 2010


Tags associés : pollution, esclavage, consommation


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