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Guillaume Nseke : Le français n’est pas en recul dans le monde

Publié le 26 octobre 2010 par 237online @237online
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Écrit par Mutations   

Mardi, 26 Octobre 2010 13:59

ç’éêééèééêé

Guillaume Nseke : Le français n’est pas en recul dans le monde
Le représentant permanent de la Francophonie en Ethiopie dresse par ailleurs le bilan de son mandat dans ce pays.

Vous êtes arrivé au terme de votre mandat de représentant permanent de la Francophonie en Ethiopie. Quel bilan pouvez-vous dressez après trois années passées dans ce pays?
Il ne m'appartient pas de juger. Mais, je crois quand même que j'ai laissé pas mal de jalons. La

Francophonie en Ethiopie, ce n'est pas tellement ça parce que nous (la Francophonie, Ndlr) n'avons pas de relations bilatérales avec ce pays. Par contre, nous avons fait beaucoup de choses notamment au niveau de l'Union africaine (Ua) et également au niveau de la Commission économique des Nations unies pour l'Afrique (Cea).

A quoi faites-vous allusion quand vous parlez de «beaucoup de choses»?
Je veux par là dire que si TV5 Monde est visionnée ici aujourd'hui, c'est un peu grâce à nous. Nous avons aussi redynamisé le groupe consultatif des ambassadeurs francophones ici. Bref, nous avons fait beaucoup d'actions et véritablement, il m'est très difficile, en deux minutes, de dire exactement ce que nous avons pu faire. Mais, nous sommes globalement satisfaits. Je crois que mes patrons le sont également.

On se rend compte que le français est en net recul dans le monde. Quel est votre avis là-dessus ?
C'est juste une impression. Si vous parlez des locuteurs, je peux vous dire qu'il y a eu une progression. Si vous parlez des membres de la Francophonie, je vous dirai également qu'il y a eu une progression. Aujourd'hui, nous sommes 70 Etats, dont 54 Etats membres permanents, plus 6 observateurs. Aux dernières nouvelles, il y a quatre Etats qui vont intégrer la Francophonie (cinq nouveaux Etats observateurs ont intégré l'Organisation au terme du 13e sommet de la Francophonie tenu le week-end dernier à Montreux en Suisse, Ndlr). Donc, je ne pense pas que le français soit en recul dans le monde. Je pense plutôt que c'est une vue de l'esprit.

Le Rwanda s'est récemment mis à enseigner l'anglais à l'école, aux dépens de la langue française...
Je crois également que c'est une approche erronée. Le Cameroun est un très bel exemple: au Cameroun, on utilise aussi bien le français que l'anglais. Idem pour le Canada. Maintenant, que le Rwanda veuille bien intégrer le Commonwealth, cela ne veut pas dire que c'est un argument défenseur qui justifie la thèse selon laquelle la langue française connaît une perte de vitesse dans le monde par rapport à l'anglais.

Pourtant, en dehors de l'amharique qui est la langue locale, on ne parle pratiquement que l'anglais à Addis-Abeba...
Addis-Abeba, ce n'est pas l'Ethiopie. Il y a d'autres villes, à l'exemple de Dire Dawa qui est la capitale véritablement francophone de l'Ethiopie. Et c'est de cette ville qu'est parti le chemin de fer (de la langue française, Ndlr) pour Djibouti.

La fin de votre mandat en terre éthiopienne ne signifie sans doute pas la fin de votre carrière. Quel est votre programme de carrière maintenant ?
J'étais en détachement auprès de la Francophonie. J'ai rempli ma mission et je reste persuadé qu'en tant que haut cadre de la diplomatie camerounaise, il y a d'autres nouveaux horizons qui m'attendent.

Un pincement au cœur en quittant Addis-Abeba, notamment la communauté camerounaise qui a organisé un diner d'au revoir en votre honneur le 16 octobre dernier ?
Il est évident que j'ai un sentiment mitigé parce que, chaque fois qu'on part, on est un peu heureux. Mais, en même temps, on est triste de laisser tout ce beau monde qui est en train de me témoigner une sympathie indescriptible.

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