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Bamendjou : Les enfants du chef supérieur déférés
Écrit par Mutations
Jeudi, 28 Octobre 2010 11:42
ééééèéééàéààééééééààééééçéééà
D'après le chef supérieur Bamendjou, joint hier au téléphone, ses trois enfants, jusque-là gardés à vue au commissariat central à Bafoussam, ont été déférés dans la journée du lundi, 25 octobre 2010, à la prison centrale de Kouogouo à Bafoussam. Il s'agit de Pierre Fohoué (38 ans), Maurice Djontu (37 ans) et Mme Mabou (plus de soixante ans). Les trois sont actuellement placés en détention préventive. Ils sont soupçonnés d'avoir incendié trois maisons et détruit une tombe à Bamendjou, le 3 octobre
dernier. Reste que la qualification de l'infraction pas encore connue. Mais, tout porte à croire qu'ils sont poursuivis pour pillage et destruction. On se souvient qu'en début de ce mois, une famille de serviteur du Fo'o de Bamendjou a voulu inhumer Catherine Djoumkang, décédée à l'âge de 85 ans. S.M Jean Rameau Philippe Sokoudjou a refusé que la défunte soit portée en terre au lieu souhaité, en indiquant que cet endroit relève d'un domaine de la chefferie.
Peu après, sur la base d'un accord entre les parties prenantes, la famille de la défunte a reconnu qu'elle n'est pas propriétaire des lieux, avant d'organiser les obsèques de Mme Djoumkang. Seulement, plusieurs faits se sont déroulés autour de ces obsèques. Dans la nuit de l'inhumation, un serviteur du Fo'o a été tabassé, parce qu'on l'a identifié comme étant l'auteur d'une coupure d'énergie électrique au lieu du deuil.
Le lendemain, il y a eu une altercation entre un petit fils de la regrettée [Armand Fonkou Sokoudjou, résidant en Italie] et SM. Sokoudjou, en plein centre ville à Bamendjou. Armand Sokoudjou a même menacé d'abattre le Fo'o à l'aide d'une arme à feu. Toujours est-il que, ayant appris que S.M Sokoudjou a été enlevé par des inconnus, princes, princesses et notables ont réagi en brûlant des maisons et détruisant une tombe. Des actes qui ont poussé la légion de gendarmerie de l'Ouest à ouvrir des enquêtes. Il y a plus d'une semaine, les trois suspects suscités ont été entendus et gardés à vue. Ils viennent d'être déférés à la prison centrale de Bafoussam.
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