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Banditisme: De faux agents d’Aes-Sonel aux arrêts
Écrit par Mutations
Jeudi, 28 Octobre 2010 11:15
’êêéééééêéàâàé
Quatre suspects ont failli être lynchés hier et sont depuis lors gardés au commissariat du 14e arrondissement de Douala.
Quatre individus se faisant passer pour des agents de la société Aes Sonel ont manqué de peu d'être lynchés par la population du quartier Ndogpassi II hier mercredi, 27 octobre à Douala. Ils n'ont eu la vie sauve que grâce à l'intervention de certaines personnes qui ont jugé bon de les conduire au
commissariat du 14e arrondissement.
Selon certains témoins, les fraudeurs se sont présentés comme étant des contrôleurs venus pour l'entretien du compteur électrique. C'est leur attitude qui aurait attisé les soupçons. «Lorsqu'ils sont arrivés, ils ont demandé la clef du compteur. Ce qui est contraire à ce que font d'habitude les autres agents qui se contentent de relever l'index», raconte une victime chez qui les faux agents n'ont pas réussi leur coup.
Rendu à la maison voisine dans laquelle les occupants étaient absents, trois d'entre eux vont s'introduire dans la maison alors que le quatrième veille aux grains. «C'est là qu'un monsieur qui l'a interrogé a constaté qu'il avait l'air suspect. Interrogé, il dira être un agent Aes Sonel. Puis, le monsieur s'est mis à crier. Ce qui a ameuté la foule», raconte un témoin d'après qui les faux agents auraient tenté d'arracher le compteur du domicile de Mme Jeannette Nkuido, épouse d'un capitaine de gendarmerie.
«Paniqué, le présumé bandit a pris la fuite. C'est alors que certains voisins se sont lancés à sa poursuite. Lorsqu'ils ont mis la main sur lui non loin d'ici, ils ont commencé à le rouer de coups. C'est alors qu'il a dénoncé ses complices restés cachés derrière la barrière verrouillée», poursuit-il. Les bandits en question vont donc rester à l'intérieur jusqu'à ce que les riverains leur fassent comprendre qu'ils se trouvaient dans la maison d'un capitaine de la gendarmerie. «Cela leur a suffisamment fait peur », raconte une voisine, le sourire en coin.
Grâce à l'intervention de certains, ils vont finalement être conduits au commissariat du 14ème arrondissement. Rencontré, le chef de poste M. N. Lobè confirme la présence des quatre individus dans les cellules. Et leurs outils de travail ont été saisis. «Cependant, s'il n'y a pas de plaignants, nous serons obligés de les remettre en liberté», conclu-t-il l'air grave. Mme J. Nkuido arrivée au commissariat, deux heures après, ne porte pourtant pas plainte. Elle s'est limitée à dire : «je suis une commerçante. Je n'étais pas à la maison. Donc, je ne sais vraiment pas quoi vous dire ».
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