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Kiss & Kill : watch and sleep !

Par Cineblogywood @Cineblogywood
Kiss & Kill : watch and sleep !
En DVD :  Je le sentais pas, mais en même temps une certaine pression familiale doublé d’un CV correct de Robert Luketic (les très drôles La Revanche d’une blonde et L’Abominable Vérité, le moyen Las Vegas 21), Ashton Kutcher le twittos fou, Katerine Heigl, même quand elle ne parle pas (bonne vanne, non ?! je m’aime) et Magnum en papa ni gai ni drôle.C’est laxatif ? Parce que c’est chiant !

La comédie d’action est un genre très casse-gueule. Kiss & Kill - titre français (!!) de The Killers - en a fait la douloureuse expérience. Je passerai sur l’intro sur fond de Nice qui ferait passer St-Tropez pour une cité HLM, et où Ashton a soulevé de la fonte pour deux plans. Le film se complique très vite, dès que le carton "Trois ans plus tard" apparaît à la 8e minute.Et là, vraisemblablement, les scénaristes ont été licenciés : les blagues nous rappellent La Classe sur FR3 ; l’action est indigeste avec des scènes digne d’un mauvais John Woo des années Van Damme, toujours ponctuées par la blague qui tue plus que les balles. Le film souffre aussi d’un vrai problème de rythme, qui ferait passer Brokeback Mountain pour une crise d’épilepsie. Donc prenez tout ça, agitez et rajoutez des acteurs qui n’ont pas été briefé faute de scénar : et zou, c’est parti pour une 90 minutes indigestes dont le principal mérite aura été de permettre aux participants de pouvoir régler leurs impôts. Critique réalisée dans le cadre d'un partenariat avec Cinétrafic
DVD édité chez Metropolitan


Marcel Martial (Peace and thrill)

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