Et oui, pourquoi donc ? Bien que l’on trouve depuis plus de 20 ans des sumotoris non-japonais, il n’existe aucune femme pratiquant le sumo (ou peut-être une, qui pratique cet art martial dans sa cave avec un sac de sable dans le fin fond du Larzac tous les 29 février) et faisant partie d’une école de cette fameuse lutte.
Le fauteur de troubles, c’est la tradition. La tradition japonaise interdit la présence d’une femme sur l’aire de combat. En effet, les rituels shintoïstes jugent (attention les filles) le sang des femmes comme impur. Les femmes furent longtemps non tolérées dans le public et ce jusqu’au début du XXème siècle. Vous avez dit sumo-macho ?
Entre nous, mesdemoiselles, mesdames, vous ne perdez pas grand chose. Vous avez vu comment ils sont fringués ?
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