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Le prix Renaudot est attribué à Virginie Despentes

Par Pikkendorff

Horreur et Damnation.  Tempête et coup de vent.  Le pire ne serait pas toujours sûr et pourtant, je doutee quand j’apprends que le prix Renaudot 2010 a été décerné à Virginie Despentes pour Apocalype Bébé ou que Grasset remporte Renaudot et Flammarion, le Goncourt.  Il aura fallu onze tours de scrutin pour que par 4 voix contre 3, cette écrivain de l’immonde l’emporte. 

J'ai lu King Kong Théorie de Virginie Despentes, appréciée de la critique et démontrant une absence totale de style accompagné du vide abyssal de sa pensée. 

Je vous rassure ; on y pète et on y chie.  La vulgarité remplace le style et la pensée.  Virginie Despentes est le témoin de notre époque où règne en maître Sieur Beigbeder chez lequel le bruit remplace le style.

Le petit monde de l’édition germanopratin tiendra dans le creux de sa main ses écrivaillons sans talent et comme les Majors de la Musique s’étonnera du désamour du public.

Il reste des Français épris de beauté, de style et d’une langue qui résistera à ses factieux  

Le prix Renaudot dans la pissotière, Houellbecq aurait du refuser le Goncourt. Dommage ! Le geste eut été digne de son roman.

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Lectori Salutem, Pikkendorff


Tags associés : renaudot 2010, virginie despentes, goncourt 2010, houllbecq


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