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Jean-Jacques ANTIER "La dame du grand mât"

Par Cricris
Ici je cite Jean-Jacques Antier. Comme plusieurs personnes m'ont signalé ne pas connaître, voici une petite bio du bonhomme.
Jean-Jacques Antier est un journaliste contemporain qui, visiblement, a une passion pour la mer. Il a écrit des livres dans différents domaines (histoire, spiritualité, histoire maritimes et romans). Jean-Jacques ANTIER De lui j'ai lu quelques romans ressemblant à des récits de voyages à travers les océans : La dame du grand mat, les rendez-vous de Marie-Galante... Comme j'adore les histoires d'eau, de vent, de bois, de vagues, de tempêtes, d'épices, de moussaillon, de capitaine et de bosco...j'ai adoré ces aventures.
Voici quelques liens pour plus d'infos : Ici et là .
Jean-Jacques ANTIER 4e de couv : Le Havre, 1779. Le trois-mâts La Croix du Sud se prépare à appareiller. Direction : Macao, et ses précieuses cargaisons de thé. A bord du navire, une passagère de marque, la maîtresse du capitaine, Catalina de Mascarena, une envoûtante Andalouse. Mais l'équipage, d'abord sous le charme de "La Dame du Grand-Mât", ne tarde pas à céder à l'inquiètude et à la superstition : en mer, une femme porte malheur. Or le sort smeble leur donner raison. Les catastrophes se mutlitplient - révoltes, tempêtes, attaques de pirates et, finalement, tumulte au Cap Horn -, compromettant la mission secrète de la sulfureuse Espagnole...
Un passage ?
"... La mer libre, la mer de Chine méridionales, s'étendait vers l'est, toute proche. Il suffisant de suivre la côte malaise, en laissant à tribord l'ïle de Bintan. Il fallait se hâter, car la nuit allait tomber.
Hélàs, le vent aussi ! Une fin de brise soufflait de face. Impossible de louvoyer dans ce passage encore trop étroit. On risquait de s'échouer sur un banc de sable ou de cever la coque sur un recif. Le capitaine de Gris-Nez commit alors une faute; mais avait-il le choix ?
- Affalez la baleinière, la yole et le canot !
Il met à l'eau ses trois embarcations pour déhaler le voilier hors du passage. C'était se priver de la moitié de ses hommes, et les plus robustes.
A cet instant, on vit surgir du dédale de l'archipel de Riau un grand perahu, un prao indonésien chargé d'hommes, peut-être cinquante. Ils avaient le vent pour eux et utilisaient de grandes rames. Leurs intentions n'étaient ps douteuses. On vit bientît luire l'acier de leurs armes, de grands cimeterres arabes. Trop tard pour virer de bord..."
Rien que de relire un passage pour le partager avec vous, j'en ai des frissons.
Sortez vos cirez et larguez les amarres !!!

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