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Sdf : John Fru Ndi minimise l’ampleur des démissions

Publié le 12 novembre 2010 par 237online @237online

Écrit par Mutations   

Vendredi, 12 Novembre 2010 09:44

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Le Chairman donnait une conférence de presse hier à Yaoundé au cours de laquelle il a également été question de Elecam et du budget de l’Etat.     C’est le 2ème Vice président du Social democratic front, Osih Joshua le premier qui, dans un communiqué de presse rendu public en début de semaine, avait tenu à donner la position du Sdf sur ces démissions désormais à la mode chez certains membres du parti depuis quelques semaines. «Les statuts du Sdf en ses articles 6.4 et 7.4.b ne reconnaissent la qualité de membre ou de militant qu’à ceux qui sont en règle de leurs contributions vis-à-vis du parti et militent régulièrement dans toutes les structures du parti. Par conséquent, la démission des nommés Sani Alhadji, Tadonkeng Maurice, Ipoua Patrice André et Nguenevit est sans objet car ils n’étaient plus en règle avec le parti depuis le congrès de 2006 et donc étaient déjà considérés comme démissionnaires».  John Fru Ndi, le président national du Sdf n’a pas fait autre chose hier lors de sa rencontre avec la presse au siège régional de son parti au quartier Olézoa à Yaoundé. Pour le Chairman, il ne s’agit ni plus ni moins que de démissions qui ne représentent rien. Pour lui, ces entrées et sorties ont toujours été observées dans son parti depuis la création de celui-ci en 1990 à Bamenda. Par conséquent, il s’agit simplement d’un non événement qui selon lui et ses proches qui l’accompagnaient dans cet exercice hier, ne devrait en rien entraver le bon fonctionnement du Sdf. On remarquera encore ici que le départ du Sdf de l’ancienne présidente de la Commission de Stratégie Kah Walla ne semble pas encore avoir été entièrement digéré, encore l’annonce de sa candidature à la prochaine élection présidentielle prévue l’année prochaine.  L’occasion était également donnée à John Fru Ndi de revenir sur Elections Cameroon. S’il a indiqué qu’il ne pouvait pas appeler les Camerounais à ne pas aller s’inscrire sur les listes électorales, le patron du Sdf a indiqué que les conditions présentées actuellement par Elecam ne permettent une conduite harmonieuse de ce processus. On pouvait donc comprendre qu’en début de soirée hier, les principaux responsables du Sdf, John Fru Ndi en tête, semblaient particulièrement remontés contre nos confrères de la Crtv dont le journal parlé de 17 heures indiquait que le Chairman avait appelé les Camerounais à aller s’inscrire sur les listes électorales. Occasion également de redire la position de son parti sur cet organe en charge du suivi du processus électoral au Cameroun. Une position qui n’a pas varié de celles qui avaient jusqu’ici été exprimées soit par lui-même, ou encore par les autres responsables de son parti, à savoir que Elecam dans sa configuration actuelle ne permet de garantir des élections crédibles au Cameroun.  L’actualité marquée par la tenue en ce moment de la troisième session annuelle de l’Assemblée nationale n’a pas été épargnée. Une session dont le principal point de l’ordre du jour est l’examen et l’adoption du budget de l’Etat pour le compte de l’année 2011. Un budget qui devrait prendre en compte la préparation de la prochaine élection présidentielle. Occasion pour John Fru Ndi de se féliciter de ce que les différentes mises en garde de sa formation politique contre ce qu’il a jugé comme des «budgets trop ambitieux» qui étaient souvent présentés par le gouvernement. Il en a voulu pour preuve, l’appel lancé lundi dernier par Cavaye Yeguié Djibril au gouvernement pour la présentation d’un projet de budget réaliste et qui devrait de plus en plus prendre en compte les préoccupations des populations camerounaises.
Le Chairman donnait une conférence de presse hier à Yaoundé au cours de laquelle il a également été question de Elecam et du budget de l'Etat.
C'est le 2ème Vice président du Social democratic front, Osih Joshua le premier qui, dans un communiqué de presse rendu public en début de semaine, avait tenu à donner la position du Sdf sur ces démissions désormais à la mode chez certains membres du parti depuis quelques semaines. «Les statuts du Sdf en ses articles 6.4 et 7.4.b ne reconnaissent la qualité de membre ou de militant qu'à ceux qui sont en règle de leurs contributions vis-à-vis du parti et militent régulièrement dans toutes les structures du parti. Par conséquent, la démission des nommés Sani Alhadji, Tadonkeng Maurice, Ipoua Patrice André et Nguenevit est sans objet car ils n'étaient plus en règle avec le parti depuis le congrès de 2006 et donc étaient déjà considérés comme démissionnaires».

John Fru Ndi, le président national du Sdf n'a pas fait autre chose hier lors de sa rencontre avec la presse au siège régional de son parti au quartier Olézoa à Yaoundé. Pour le Chairman, il ne s'agit ni plus ni moins que de démissions qui ne représentent rien. Pour lui, ces entrées et sorties ont toujours été observées dans son parti depuis la création de celui-ci en 1990 à Bamenda. Par conséquent, il s'agit simplement d'un non événement qui selon lui et ses proches qui l'accompagnaient dans cet exercice hier, ne devrait en rien entraver le bon fonctionnement du Sdf. On remarquera encore ici que le départ du Sdf de l'ancienne présidente de la Commission de Stratégie Kah Walla ne semble pas encore avoir été entièrement digéré, encore l'annonce de sa candidature à la prochaine élection présidentielle prévue l'année prochaine.

L'occasion était également donnée à John Fru Ndi de revenir sur Elections Cameroon. S'il a indiqué qu'il ne pouvait pas appeler les Camerounais à ne pas aller s'inscrire sur les listes électorales, le patron du Sdf a indiqué que les conditions présentées actuellement par Elecam ne permettent une conduite harmonieuse de ce processus. On pouvait donc comprendre qu'en début de soirée hier, les principaux responsables du Sdf, John Fru Ndi en tête, semblaient particulièrement remontés contre nos confrères de la Crtv dont le journal parlé de 17 heures indiquait que le Chairman avait appelé les Camerounais à aller s'inscrire sur les listes électorales.
Occasion également de redire la position de son parti sur cet organe en charge du suivi du processus électoral au Cameroun. Une position qui n'a pas varié de celles qui avaient jusqu'ici été exprimées soit par lui-même, ou encore par les autres responsables de son parti, à savoir que Elecam dans sa configuration actuelle ne permet de garantir des élections crédibles au Cameroun.

L'actualité marquée par la tenue en ce moment de la troisième session annuelle de l'Assemblée nationale n'a pas été épargnée. Une session dont le principal point de l'ordre du jour est l'examen et l'adoption du budget de l'Etat pour le compte de l'année 2011. Un budget qui devrait prendre en compte la préparation de la prochaine élection présidentielle. Occasion pour John Fru Ndi de se féliciter de ce que les différentes mises en garde de sa formation politique contre ce qu'il a jugé comme des «budgets trop ambitieux» qui étaient souvent présentés par le gouvernement. Il en a voulu pour preuve, l'appel lancé lundi dernier par Cavaye Yeguié Djibril au gouvernement pour la présentation d'un projet de budget réaliste et qui devrait de plus en plus prendre en compte les préoccupations des populations camerounaises.

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