Au Bataclan, lundi 15 novembre, c’était une histoire de famille : en effet VV Brown se produisait, mais juste avant il y avait sa soeur Jay Brown. Et avant les sœurettes Brown les Twin Twin, formés comme on le sait de trois jumeaux(et non pas des triplés !) étaient chargés d’assurer la première partie. Vous n’y étiez pas ? dommage, mais on est sympa on vous raconte ça !

ps : nous défions quiconque de porter aussi bien le mini short en jean que François Djemel !!!!!!
(photos by Saskia Lawaks)
Jay Brown
C’est la petite sœur de VV Brown, accompagnée de sa guitare et de ses (très bon) musiciens. C’était son tout premier concert et c’est surement pour cela qu’elle nous a demandé d’écrire nos mails et de les lui donner pour rester « in touch ». Nous, malheureusement on a pas vraiment accroché ni à sa voix, ni à son univers, qui au final semble assez proche de celui de VV. Elle a une voix très rauque, du genre Melissa Etheridge qui aurait attrapé une angine. Assez bizarre car quand elle parlait elle n’avait pas du tout la voix rauque. Mais elle en voulait et était vraiment contente d’être ici, énergique et déchainé, cependant on est un peu passé à côté. Mais faut quand même dire qu’à seulement 19 ans elle a déjà un très bon potentiel.
VV Brown
nArrivée de la sculpturale chanteuse sous les applaudissements du public qui après deux premières parties était assez impatient et chaud bouillant. Il faut dire qu’on aime ou on aime pas la demoiselle assure le show, se donnant à fond pendant près d’une heure et demi. Sautant partout, au risque même de perdre un bout de sa tenue (oui mais VV, elle porte un soutien gorge en dessous, donc ce n’est pas trop grave). Le summum ayant été atteint lorsqu’elle reprend « I gotta feeling » des Black Eyed Peas et là on a envie de dire « Mazeltov ». Quelques titres plus tard elle reprend « One Love« , après avoir transformer Crying Blood en mode reggae : le Bataclan s’envole en Jamaïque le temps de deux chansons ! Et pour le rappel nous avons eu droit à son fameux titre « il y a anguille sous roche », c’est à dire « Shark in the water » en compagnie des Twin Twin et de sa soeur. Tout le monde y mettra du sien : Patrick au beatbox, Lorent et Jay s’improvisant chorégraphes, François au mégaphone… bref un final de pure folie.
Lamiya Aït-Saïd