Félix Wazekwa attendu à Johannesburg

Devant cette altercation, l’arroseur qui a toujours empiété sur les plates-bandes d’autrui, se retrouve actuellement coincé, à cause de ses turpitudes et, ne peut jamais se rendre dans certains Etats, de peur de se faire écrouer.

S’Grave Félix Wazekwa continue son séjour à Paris. Dans la capitale française, on le sait, « Mokuwa bongo » avait précédé ses musiciens pour une production fortement médiatisée qui devrait avoir lieu au Zénith.
Mais, contre toute attente ceux qui marchent toujours pour contrer la vie de leurs semblables avaient monté une cabale en faisant resurgir un vieux dossier de traite des êtres humaines pour lequel le patron de « Cultur’A Pays Vie » devrait encourir un emprisonnement ferme.
Mal leur en pris d’autant plus que le compositeur de « Et après ? » s’en est sorti avec une condamnation de 2 ans avec sursis.

Toutefois, le concert du Zénith a eu lieu mais avec des musiciens se trouvant dans l’Hexagone étant donné que ceux de Kinshasa n’ont pas eu des visas de voyage. Faute de mieux, on sait contenter de l’essentiel.
Félix a gagné son pari en allant se présenter courageusement devant les juges belges et il s’en est ressorti réconforté et apaisé. Après un petit problème de santé, le patron de « Cultur’A Pays Vie » regagne Kinshasa, dans les tout prochains jours, pour préparer sa tournée africaine.
Celle-ci débute par un concert à Johannesburg, en Afrique du Sud sur invitation de la maison « Ntemba International ». Ainsi, après le passage réussi de Fally Ipupa qui a livré deux concerts dans les installations de Kayembe Chez Ntemba, ce sera autours de Pitchou Concorde et ses amis de prouver aussi à leur tour de quel bois ils se réchauffent.
Devant cette altercation, l’arroseur qui a toujours empiété sur les plates-bandes d’autrui, se retrouve actuellement coincé, à cause de ses turpitudes et, ne peut jamais se rendre dans certains Etats, de peur de se faire écrouer.
Comme dirait l’autre: « le système de l’arroseur arrosé », vient d’être déclenché. Comprenne qui pourra et nous en reparlerons