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Memory Lane

Par Ffred
Memory Lane
L'histoire
Août, Hauts de Seine, dans la banlieue Sud-Ouest de Paris, sept amis de 25 ans se retrouvent plus ou moins "fortuitement" à passer quelques jours dans cette ville qui les a vus grandir.
Memory Lane
Mon avis
Ce premier film de Mikhaël Hers laisse deux sentiments contradictoires. D'un côté de la platitude et un manque d'intérêt. Une bande de copains d'une tristesse et d'une banalité sans nom. Une succession de scènes de la vie de tous les jours et de conversations inoffensives. Portrait d'une certaine jeunesse (si elle est vraiment comme cela, je suis bien content de ne plus avoir 25 ans !). La simplicité du quotidien normal de personnages pas du tout attachants.Voilà ce que nous montre le réalisateur. La mise en scène est aussi simple que le scénario. Aucune touche d'originalité. Mais d'un autre côté, passées les premières scènes où on attend, en vain, que quelque chose se passe, on s'habitue un peu à tout cela et on ne s'ennuie pas. On se laisse porter par une sorte de fascination du vide. Très bizarre. La voix off qui fait le bilan de cet été insipide n'ajoute rien à l'affaire. Mais on s'en fiche un peu. La fin arrive finalement très vite et on a pas trouver le temps long. Les acteurs sont ne sont pas mauvais mais aucun ne se démarque, même pas Lolita Chammah (la fille Huppert) bien meilleure dans Copacabana. Ils jouent tous sur le même ton et de façon uniforme. Un film un peu hors du temps, hors des genres, pas passionnant mais pas inintéressant. Instantanés d'un morceau de la vie normale, du temps qui passe, de la jeunesse qui s'en va....
Memory Lane

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