Lorsqu'il se réveille, nu dans une baignoire, la mémoire défaillante et un filet de sang sur le front, un homme reçoit un coup de téléphone : on lui dit qu'il est en danger et qu'il doit fuir cet endroit au plus vite ! Là, il se rend compte qu'il y a un cadavre dans la chambre d'hôtel...
Dark City (1998, 1h40), film australo-américain d'Alex Proyas, avec Rufus Sewel, Jennifer Connely, William Hurt, Kiefer Sutherland...
Dark City vaut avant tout pour son esthétique splendide. Influencé par des films
Oh, bien sûr, on pourra toujours reprocher au scénario quelques petites faiblesses ici ou là, mais rien qui n'empêche de regarder et d'apprécier ce film. Les acteurs sont ici très convaincants, tant ils apportent une certaine crédibilité, une force à une histoire qui en manque parfois cruellement.
La réalisation très soignée, portant la focalisation du spectateur sur les détails, nous embarque dans cette histoire, faisant oublier les ficelles un peu grosses. Elle est très référencée, ce qui ne gâche rien. A l'époque de sa sortie en salle, je m'étais dit qu'il me fallait absolument suivre ce réalisateur australien d'origine égyptienne. Malheureusement, après le décevant I, Robot, je suis vraiment tombé des nues avec l'incroyable navet qu'est Prédiction.
Il n'en reste pas moins que, malgré ses petits défauts, Dark City reste un splendide film à voir absolument ! Ou à revoir...
note :
A.C. de Haenne
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble