Pitcho, mon pitch : 2018. Les humains sont toujours en guerre contre les robots, sauf que John Connor a bien grandi (et qu'il ressemble vachement à Christian Bale maintenant) et que les Terminators ont légèrement évolué.
(Je vous rassure, il y a toujours des Terminators à taille humaine, et ils font toujours aussi peur)
Bref, des robots, John Connor...et un petit nouveau, nommé Marcus, qui a perdu la mémoire. Ajoutez-y un soupçon d'univers post-apocalyptique et hop ! vous avez le quatrième Terminator !
Alors, comment qu'il s'en sort le petit dernier de la saga Terminator ? Et bah, bien, bien. Il y a de l'action, des effets spéciaux convaincants, une histoire qui tient à peu près la route, des petites références aux autres opus... On notera aussi que John Connor (Christian Bale) se fait littéralement voler la vedette par un certain Sam Worthington. Ca vous dit pas quelque chose ? Et ben si, c'est lui !
Mais si, lui !
Le héros d'"Avatar" ! Et il tient dans "Terminator Renaissance" un rôle assez intéressant, ambigu, qu'on aurait adoré encore plus creuser. Mais voilà, on est à Hollywood, y'a un cahier des charges, et des grands patrons qui s'intéressent plus aux billets verts qu'à la psychologie humaine, du coup "Terminator Renaissance" reste encore bien trop sage, et n'hésite pas à recourir aux clichés du genre (l'homme qui se sacrifie pour son prochain etc.). Pas vraiment surprenant, pas révolutionnaire, pas le meilleur de la saga, donc, mais sympathique et divertissant. C'est déjà ça.
MISE A JOUR : trouvé sur le net, cette petite vidéo sympa. Ou le cross-over qu'on attend tous avec impatience... : comment stopper les voyages dans le temps et donc arrêter la saga Terminator ? Facile, suffit d'éliminer celui qui permet le voyage dans le temps...et devinez qui c'est...