Magazine Cinéma

Colour of Night

Publié le 18 décembre 2010 par Olivier Walmacq

color_of_night

genre: policier
Année: 1994
durée: 2h10

l'histoire: Le psychanalyste Bill Capa vient se reposer chez un ami et un collègue, qui l'intègre à son groupe de travail. Quelques jours plus tard, celui-ci est retrouvé assassiné. Bill veut faire toute la lumière sur la mort de son ami, et décide de le remplacer dans ses fonctions de thérapeute, afin de démasquer le tueur qu'il soupçonne être l'un des cinq clients malades et névrosés.

La critique de Eelsoliver:

Il ya des films comme ça, auxquels on ne pige strictement rien ! Et les producteurs non plus ! Visiblement, c'est le cas de Colour of Night, réalisé par James Rush en 1994.
Pourtant, à première vue, le scénario a l'air plutôt simpliste. Un psychanalyste, Bill Capa (Bruce Willis) vient consulter l'un de ses collègues (Scott Bakula).
Ce dernier l'invite à participer à un groupe de travail avec des patients mentalement dérangés.

En vérité, c'est à partir de là que Colour Of Night sombre dans le grand n'importe quoi. L'ami de Bill est assassiné. Seul problème, à la fin du film, on ne sait toujours pas pourquoi...
La faute à un scénario particulièrement brouillon. Même Bruce Willis a l'air consterné par ce film policier sans intérêt. Un vrai navet ! Donc, pas grand chose à sauver de ce Colour of Night, qui jouit pourtant d'une petite réputation.

Pourquoi ? Probablement à cause de la séquence érotique entre Bruce Willis et Jane March. Une scène dans laquelle on verra la bite... euh... le zobi de Monsieur Willis et évidemment Jane March à poil.
Certes, cette dernière est très belle, mais c'est aussi une bien piètre actrice qui joue ici une patiente perturbée. En dehors de cela, pas grand chose à se mettre sous la dent (façon de parler...).

Colour of Night est un film désespérant, en raison d'un script mal torché et de multiples longueurs harrassantes, le long-métrage sur une durée de deux heures et 10 minutes de bobine !
Franchement insupportable ! Je ne vois vraiment pas quoi sauver de ce film pourri jusqu'à la moëlle. Non là désolé, c'est la bulle assurée.

Note: 0/20


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Olivier Walmacq 11545 partages Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazines