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Les tops et les flops du cinéma en 2010

Publié le 20 décembre 2010 par Jul

Certes, ceci est un blog parlant de différentes formes de culture, mais avec une nette préférence pour le cinéma. A défaut d'avoir eu le temps de voir tous les principaux films de l'année ("Mystères de Lisbonne", "Contes de l'âge d'or", "Policier, adjectif", "A serious man" ...) et d'avoir aimé l'incontournable "The social network", je ferai mon propre Top & Flops avec le peu de films qui restent, mais non des moindres. Et il n'y aura pas "Les petits mouchoirs", non, pour la bonne raison que je ne me suis même pas donnée la peine de faire le déplacement.

Et vous, quels sont vos meilleurs films et vos navets de l'année ?

TOPS

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"Green Zone" : pour l'extraordinaire maîtrise du docu-fiction par Paul Greengrass, dans un film d'action classique traitant de faits réels. (Critique ici)

"Ce que je veux de plus" : pour l'histoire impossible et destructrice d'Anna et Domenico, que chacun devrait connaître au moins une fois dans sa vie.

"Le quattro volte" : une extrême simplicité formelle présentant d'autant plus clairement un territoire vivant au rythme des traditions. (Critique ici)

"Illégal" : pour la capacité à nous montrer sans concessions ni misérabilisme ce qu'on fait vivre aux sans-papiers pour qu'ils rentrent chez eux.

"The ghost-writer" : d'une réalisation aussi froide que magistrale, un des meilleurs films de Roman Polanski.

"Amore" : Guadagnino dépeint aussi bien l'ennui de cette famille bourgeoise que le peu de choses suffisant à rendre l'amour et la vie à une femme ayant oublié jusqu'à son nom.

"Faites le mur" : bien qu'étant plus essentiel à l'art qu'au cinéma, le film de Banksy, dernier en date de cette nouvelle démarche menant des artistes de divers horizons au cinéma, mérite largement son titre d'oeuvre unique.

FLOPS

 

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"Potiche" : parce que François Ozon semble être devenu exactement ce dont il se moque (trop gentiment d'ailleurs) ici.

"Nine" : Fellini réinterprété par Hollywood et Kate Hudson chantant "Cinema italiano", c'est dur, vraiment trop dur.

"Gainsbourg (vie héroïque)" : parce qu'il n'y avait pas que les femmes dans la vie de Gainsbourg. (Critique ici)

"The tourist" : pourquoi Florian Henckel von Donnersmarck n'est-il pas resté chez lui ?


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