©Catherine Hédouin À Venise, les gens se déplacent comme sur une scène : avec une agitation qui ne les mène nulle part, ou leurs rêveries sans objet, ils passent leur temps à apparaître à un coin de rue et à disparaître immédiatement à un autre. Ce faisant, ils ressemblent toujours à des acteurs qui ne se tiendraient ni à droite ni à gauche de la scène. La pièce se déroule, qui n'a aucune raison d'être et aucun effet sur la réalité.Georg Simmel.
Magazine Culture
En attendant la fête...
Publié le 28 décembre 2010 par Venetiamicio
©Catherine Hédouin À Venise, les gens se déplacent comme sur une scène : avec une agitation qui ne les mène nulle part, ou leurs rêveries sans objet, ils passent leur temps à apparaître à un coin de rue et à disparaître immédiatement à un autre. Ce faisant, ils ressemblent toujours à des acteurs qui ne se tiendraient ni à droite ni à gauche de la scène. La pièce se déroule, qui n'a aucune raison d'être et aucun effet sur la réalité.Georg Simmel.
