Dessert first…

Très bonne année à tous. ..

Comme on dit: « Life is short, eat dessert first! » Alors plein de desserts pour vous et vos proches. Avouez qu’on vous avait souhaité argent, santé et bonheur, mais qu’on ne vous avait jamais dit « Je te souhaite plein de desserts »…. Que ces gourmandises vous apportent de bonnes choses en 2011 et estompent les moments amers de 2010.

Pour bien commencer l’année, quelques propositions:

-  Théâtre: Des souris et des hommes

Cette pièce reprise au Petit Théâtre Saint Martin (près de Grands Boulevards, idéal pour prendre un verre avant) est une véritable réussite sur tous les points: comédiens tous aussi justes les uns que les autres, mise en scène qui façonne un véritable univers, et d’après ceux qui l’ont lu, c’est fidèle au roman de Steinbeck.

Du mardi au samedi à 20h. Dimanche à 16h. Places à 23€ sur Billetreduc.com

- Livre: Je ne souffrirai plus par amour

Lucia Extebaria est une auteure espagnol qui n’a pas froid aux yeux et à la plume. Féministe dans l’âme, elle défend la liberté de pensée, l’indépendance affective, le détachement de tout modèle consumériste dictant qu’il faut être une pub L’Oréal sinon rien. Il y a des amalgames par-ci par-là, de nombreux raccourcis, mais ça rappelle quelques principes de bases pour ne pas rater sa vie, tout en étant piquant et divertissant.

Aux éditions 10/18 (7€)

Cinéma: Les émotifs anonymes

 Tous les grands timides se reconnaitront dans cette comédie de Jean-Pierre Améris qui contient des scènes d’anthologie, les émotifs étant particulièrement gaffeurs et imprévisibles, surtout quand ils tombent amoureux. La note sentimentaliste l’est parfois trop, mais Isabelle Carré et Benoit Pooelvorde l’emportent.

- Musique: Agnès Obel

Philarmonics est le CD couette ou bain chaud. C’est doux, aérien, bien composé avec une voix douce. Un peu triste parfois… donc très bien si on va voir Les émotifs anonymes ensuite.

En souhaitant que ces petites idées vous fasse passer un bon début d’année!

 Allez, je file faire mes bonnes résolutions, n’ayant pas encore mis sur la liste de ne plus en faire…