Le Crepuscule du Che

8 octobre 1967. Le Che s’apprête à vivre sa dernière nuit. Quelques heures avant son exécution, « El Commandante » va faire une étrange rencontre : un journaliste d’aujourd’hui venu interroger cette personnalité hors normes. Au fur et à mesure de leur brûlant entretien se dessine une image du Che loin de celle véhiculée par les produits dérivés à son effigie : un homme complexe, ni monstre sanguinaire ni surhomme romantique.

Voici l’histoire d’une personnalité qui fait partie de notre histoire qu’on le veuille ou non.  Mais ce fameux Che Guevarra, souvent mis en avant par la jeunesse d’aujourd’hui, savent-il vraiment qui il est ? Aujourd’hui il redevient un homme de chair et de sang dans Le Crépuscule du Che de José Pablo Feinmann, traduit par Marion Loran.

C’est Gérard Gelas qui s’est chargé de la mise en scène de cette pièce qui a débuté hier avec sur scène Olivier Sitruk, Jacques Frantz, Laure Vallès, Guillaume Lanson et François Santucci.

Le Crépuscule du Che, Petit Montparnasse,  du mardi au samedi à 19h et le dimanche à 15h.