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Ce que je sais de Véra Candida

Par Liliba

Véronique OVALDE

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Présentation de l'éditeur :

Quelque part dans une Amérique du Sud imaginaire, trois femmes d'une même lignée semblent promises au même destin : enfanter une fille et ne pouvoir jamais révéler le nom du père. Elles se nomment Rose, Violette et Vera Candida. Elles sont toutes éprises de liberté mais enclines à la mélancolie, téméraires mais sujettes aux fatalités propres à leur sexe. Parmi elles, seule Vera Candida ose penser qu'un destin, cela se brise. Elle fuit l'île de Vatapuna dès sa quinzième année et part pour Lahomeria, où elle rêve d'une vie sans passé. Un certain Itxaga, journaliste à L'Indépendant, va grandement bouleverser cet espoir. Un ton d'une vitalité inouïe, un rythme proprement effréné et une écriture enchantée. C'est ce qu'il fallait pour donner à cette fable la portée d'une histoire universelle : l'histoire des femmes avec leurs hommes, des femmes avec leurs enfants. L'histoire de l'amour en somme, déplacée dans l'univers d'un conte tropical, où Véronique Ovaldé a rassemblé tous les thèmes - et les êtres - qui lui sont chers.

Je serai très brève sur ce roman car, comme vous pouvez le voir ci-dessous, il a déjà été lu et apprécié par de très nombreuses blogueuses. J'ai adoré le style de Véronique Ovaldé et me suis totalement plongée dans cette histoire de filiation, que j'ai trouvé superbe, bien qu'assez triste. Un très beau moment de lecture et d'évasion qui me donne envie de découvrir les autres romans de cette auteur.

Un roman lu par :

Cuné : En lisant la prose de Véronique Ovaldé, j'ai été submergée par sa beauté, tout entière au service de son imaginaire extraordinaire.

Fashion : j'ai été conquise par un style enchanteur, d'une fluidité et d'une limpidité totale, dont les ruptures de ton sont d'une drôlerie souvent inattendue.

Antigone : Encore une fois, me voici sous le charme de la manière bien personnelle de Véronique Ovaldé de mener un récit !

Culture sur le zinc : Lire l'histoire de Véra Candida est un enchantement pour toutes ces raisons : une écriture lumineuse, un rythme entraînant, ces portraits de femmes haut en couleurs, et l'exotisme du décor dans cette contrée imaginaire, à la fois synonyme d'évasion et de réflexion emprunts de sentiments forts.

Jules : Ovaldé est certainement une grande conteuse, elle a le rythme pour vous tenir accrocher, elle sait mettre assez de piquant pour éblouir, mais pas trop pour éviter l'irréalisme.

Esmeraldae : Ce n'est pas que je n'ai pas aimé ce livre. Je l'ai bien aimé mais voilà sans plus.

Caroline : Je n’ai pas été totalement emportée par l’histoire, mais ce fut véritablement une lecture agréable.

Papillon : Que j’ai aimé ce roman ! Le réalisme magique à la sud-américaine convient parfaitement à l’univers si personnel de Véronique Ovaldé et à sa plume simple, vivante et imagée.

L'ivresque : J’ai passé un très bon moment de lecture, ayant retrouvé avec plaisir la plume gracieuse et poétique de Véronique Ovaldé ainsi que son ton particulier où l’atmosphère mélancolique et onirique se font la part belle, avec cette touche originale de réalisme magique qui la distingue de la plupart des écrivains français contemporains.

Théoma : Je digresse, je m'emballe, je ne touche plus terre parce que j'ai tout aimé et que j'ai tout pris de ces 292 pages qui me sont dorénavant bien trop précieuses.

Sandrine : J'ai aimé le début du livre et au fur et à mesure que l'histoire avançait je m'en suis lassée.

Brize : une appréciation personnelle : l'histoire ne m'a pas captivée, elle ne me "parlait" pas.

Mirontaine : Quel beau livre, je suis encore bouleversée par cette lecture. Il est difficile de donner ses impressions  sans ternir la beauté de ce roman.

Aurore : L'écriture fluide de Véronique Ovaldé mène la danse d'un rythme effrené, et on est vite pris par cette petite fable qui transpire l'amour et tout ce qu'on peut espérer de mieux pour les siens, ceux qu'on aime...

Lili Galipette : Le récit file à toute allure.

A propos de livres : J'ai trouvé cette lecture très agréable, j'ai été porté par le décor exotique de ce pays imaginaire, les personnages haut en couleurs... Un beau livre à découvrir !

Orchidée : J'ai lu très vite ce roman, mais je suis très mitigée.

Laurence de Biblioblog : Je fus immédiatement séduite par la plume et l'univers de Véronique Ovaldé

Zarline : Un récit original, avec une écriture agréable, mais une histoire qui reste, selon moi, bien trop en surface et qui ne présente pas vraiment des personnages attachants.
Sylvie : Ce roman nous propose une plongée à corps perdu dans les méandres de la filiation avec finesse, malice et poésie. Il nous offre de jolies pages sur les liens mères-filles qui se nouent ou se dénouent avec douleurs et bonheurs.

Mango : L'histoire est belle, pleine de malheurs et d'amour mais c'est surtout l'écriture, le style que j'ai beaucoup aimé.

Tamara : C’est la première fois que je lisais Véronique Ovaldé et ce fut un premier rendez-vous réussi : sa plume s’accompagne d’une douce musique, les mots sont chatoyants même lorsque les phrases vous poignardent.

Calepin : Je suis personnellement assez peu réceptif à ce type d'écriture, mais n'en reste pas moins admiratif devant l'originalité de certaines descriptions et surtout devant la précision de certaines comparaisons, qui savent dire les sentiments, les impressions, avec une grande justesse.

Cuné : En lisant la prose de Véronique Ovaldé, j'ai été submergée par sa beauté, tout entière au service de son imaginaire extraordinaire.

Amanda : Rien n’est dit mais tout est suggéré, imagé, les phrases sont des petites bulles qui éclatent, donc, qui pétillent avec une belle densité de couleurs et de sens. Au final, une impression jolie, inattendue, et vraiment plaisante.

Enna : J'ai vraiment beaucoup aimé ce roman. Un roman sur la fatalité et la possibilité d'y échapper, un roman sur l'indépendance et sur l'amour.

Leiloona : L'ambiance de ce roman est vraiment particulière : l'air iodé et la chaleur de cette île arrivent jusqu'au lecteur, qui est de fait transporté à Vatapuna.

Canel : Un pur délice de la première à la dernière page.

Armande : Cette histoire nous emporte, nous transporte dans un ailleurs où la violence est très présente mais où la présence féminine apporte des oasis de douceur.

Et d'autres lecteurs encore chez BOB.

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