Éditeur : Robert Laffont - Date de parution : 13/01/2011- 92 pages
Pour moi, il y a une erreur sur la qualification de ce livre. Il s’agit d’une longue nouvelle mais pas d’un roman : 92 pages petit format sans compter une numérotation qui commence par une page 11 (je vous laisse calculer) et une typographie très grande … .Mais venons-en à l’histoire. Présentation de l’éditeur : En pleine crise de lassitude au cœur de la crise économique, Christopher, opérateur culturel belge de cinquante ans au bord de la faillite, souhaite ralentir et se recentrer sur des valeurs plus justes. Parce que « la vie rappelle de temps en temps que le monde est tout petit », il décide de s'arrêter et de partir. Ce sera pour le Portugal, en train. Alors que le ciel additionne les nuages, Christopher croise sur le quai de la gare une inconnue, Emma, qu'il va découvrir le temps d'un voyage entre Bruxelles et Lisbonne, au cours d'une longue et belle conversation, à la fois tendre, émouvante, et toujours sincère .Ok, alors oui, Christopher et Emma discutent au départ de leur travail. Christopher a accumulé une expérience professionnelle et porte un regard désabusé sur l’économie, la crise. Emma vend des produits divers : thés indiens, poésie persane, des stages de cuisine libanaise pour le compte d’une patronne ouverte aux autres. Deux mondes différents mais l’un et l’autre s’écoutent avec beaucoup d’intérêt. Leur conversation ressemble à celle que l’on pourrait avoir avec quelqu’un d’inconnu et avec qui on va partager de longues heures dans un train. Sauf que tous les deux vont dériver sur leur vie personnelle. En parlant à Emma, Chistopher fait le point sur sa vie familiale : divorce, enfants. Ils arrivent à destination et se disent au revoir. Et là, j’avoue que je n’ai pas compris. Voilà, c’est fini! Déjà ? Et oui !Les thèmes abordés auraient mérité d’être approfondis… dommage. Vite lu et vite oublié pour moi. Merci cependant à BabelioDu train où vont les choses à la fin d'un long hiverFrancis DannemarkCritiques et infos sur Babelio.com