Gallimard, collection Folio, 2006, 115 pages
Résumé de l'éditeur augmenté :
Une veuve spirituelle et jolie, mais sans un sou, trouve refuge chez son beau-frère, un riche banquier. Est-elle dénuée de scrupules, prête à tout pour faire un beau mariage, ou juste une coquette qui veut s'amuser ?
Le jeune Reginald risque de payer cher la réponse à cette question, malgré tout le soucis qu'en prend sa mère.
Sans oublier la propre fille de Lady Susan qui a tout à perdre dans les tractations de sa mère.
Mon avis :
Un roman par lettres, avec tous ses non-dits et ses changements de personnages.
Y percent les moeurs de la noblesse anglaise du 19e siècle et notamment ses mises au ban rapides et définitives.
J'y ai trouvé moins de souffle épique que dans les autres romans de cette écrivain, et moins de romanesque.
Dommage.
L'image que je retiendrai :
Celle de la fille de Lady Susan, Frederica, qui s'enfuit de sa pension de Londres pour échapper à sa mère.